
Par une nuit d'orage, Olivia Lytton frappe à la porte du duc de Sconce après que sa calèche a versé dans le fossé. Sublime apparition : ses longs cheveux dénoués ruissellent, sa robe trempée souligne des courbes somptueuses. Ébloui, Quin ne peut s'empêcher de lui voler un baiser. Lui le mathématicien de génie imperméable aux émotions s'embrase soudain pour cette femme au franc-parler déconcertant et au langage fleuri. Aurait-il enfin trouvé sa duchesse ? Mais n’est-il pas déjà fiancé ? À la sœur d’Olivia, très précisément ?
J'ai lu les deux premiers tomes de cette série il y a un petit moment déjà. J'ai accroché aux deux réécritures et même s'il nous a fallut du temps avec Mathilde pour le lire, nous nous sommes enfin décidé. Puis il y a ma moitié qui nous a rejointe et nous avons fais une lecture commune à 3. C'était agréable de partager et d'échanger et nous avons pas mis longtemps à le lire.
Ce tome 3 est la réécriture du conte de La princesse au petit pois. Autant dire que j'ai très peu de souvenirs sur ce conte. Je l'ai lu il y a très très longtemps et à part l'histoire du matelas et qu'elle sent le petit pois je ne me rappelais de rien. Le récit que nous apporte Eloisa James s'éloigne très largement du conte. J'ai pu décerner deux références une qui arrive au début et une autre à la fin qui m'a fait sourire et qui était top. L'éloignement par rapport à l'histoire générale ne m'a absolument pas dérangé, bien au contraire.
Après mûre réflexion, je pense que c'est mon tome préféré des trois pour le moment. J'ai tout de suite accrochée au récit et aux personnages. Dans ce tome, les commentaires du narrateur sont plus présents. C'est intéressant, agréable à lire. Ça crée un vrai échange, une complexité entre le lecteur et le narrateur vu qu'il nous adresse ses propos directement à nous. Puis les commentaires sont humoristiques. Je me suis vue à plusieurs reprises le sourire figé sur le visage.
L'humour est une notion omniprésente dans le récit. Il passe à travers le personnage d'Olivia. J'ai adoré son personnage haut en couleur qui tente de fuir la « duchification » de ses parents. Elle a de la répartie, des répliques sarcastiques mais elle est naturelle. Elle est simple. Puis ce que j'ai apprécié surtout c'est le fait qu'elle ne soit pas « parfaite ». Elle a des formes voluptueuses, ce n'est pas la mannequin taille 34. Ça change un peu (bien évidemment ce n'est pas une critique pour les minces). Puis elle ne rentre pas dans les codes. Elle n'est pas la « lady », elle ne sait pas se comporter comme une véritable duchesse. Mais toutes ses petites imperfections, la rendent parfaite. Olivia est douce, gentille, loyal et très attentionnée. C'est vraiment un personnage que j'ai adoré.
J'ai aimé cette histoire : la mère qui veut rechercher la bonne épouse pour son fils parmi plusieurs. Olivia qui est promise à un duc depuis sa tendre enfance mais elle n'est pas faite pour cette vie. Sa sœur jumelle, Georgianna qui est parfaite dans son rôle et qui ne trouve pas de duc. C'est très agréable à lire, une lecture détente. Il n'y a pas de suspense mais les pages défilent les unes après les autres. Puis elle nous montre que les parents ne peuvent pas nous mettre dans un moule et tout choisir pour leurs enfants.
Les personnages secondaires sont plaisant également. Georgie est mignonne et elle m'a plu de plus en plus au fil des pages. Sans compter le personnage de Rupert. Alors celui-là est vraiment présent qu'au début mais les situations dans lesquelles ils se trouvent m'ont fait rire. Il est un peu « simplet » mais attendrissant. Son personnage est tourné en ridicule et c'est un plaisir pour le lecteur qui se marre, pas pour se moquer mais parce qu'avec Olivia ça crée des situations cocasses. Il y a la petite Lucy, c'est un « personnage » phare mais qui est plaisant. J'ai trouvé ça mignon.
Vous vous doutez bien qu'une réécriture de conte, sans le « prince charmant » ce n'est pas un conte. Le prince n'est pas un prince puisque c'est un duc, plus exactement le duc de Sconce. Quin est froid, il a vécu un événement très difficile qu'il fait qu'il ne croit pas aux sentiments, qu'il ne sait pas rire, ni sourire. Jusqu'à la venue d'Olivia. Olivia est tout ce qu'il rejette, tout ce qu'il veut pas et pourtant... Son personnage est extra, il évolue de chapitre en chapitre. Mais surtout ce que j'ai aimé c'est la romance qui se déroule entre les deux personnages. Celle-ci est prévisible mais ça m'a fait du bien. Ça m'a réchauffé le cœur, ça m'a mis le sourire.
En conclusion, j'ai adoré ce conte. Un point bonus pour les titres des chapitres qui sont vraiment tops et eux aussi ils sont humoristiques puis pour l'épilogue. L'épilogue qui se déroule 13 ans après, permet de voir l'évolution de chacun des personnages. Les personnages sont attachants. Une comédie romantique qui revisite le conte d'une manière originale et plus actuelle. J'ai hâte de lire le prochain tome qui est sur « Le vilain petit canard ». Je vous conseille cette série si vous aimez les réécritures. Je suis emportée à chaque fois au XIXème siècle, au milieu de ces bals et de ces belles robes.
Ce tome 3 est la réécriture du conte de La princesse au petit pois. Autant dire que j'ai très peu de souvenirs sur ce conte. Je l'ai lu il y a très très longtemps et à part l'histoire du matelas et qu'elle sent le petit pois je ne me rappelais de rien. Le récit que nous apporte Eloisa James s'éloigne très largement du conte. J'ai pu décerner deux références une qui arrive au début et une autre à la fin qui m'a fait sourire et qui était top. L'éloignement par rapport à l'histoire générale ne m'a absolument pas dérangé, bien au contraire.
Après mûre réflexion, je pense que c'est mon tome préféré des trois pour le moment. J'ai tout de suite accrochée au récit et aux personnages. Dans ce tome, les commentaires du narrateur sont plus présents. C'est intéressant, agréable à lire. Ça crée un vrai échange, une complexité entre le lecteur et le narrateur vu qu'il nous adresse ses propos directement à nous. Puis les commentaires sont humoristiques. Je me suis vue à plusieurs reprises le sourire figé sur le visage.
L'humour est une notion omniprésente dans le récit. Il passe à travers le personnage d'Olivia. J'ai adoré son personnage haut en couleur qui tente de fuir la « duchification » de ses parents. Elle a de la répartie, des répliques sarcastiques mais elle est naturelle. Elle est simple. Puis ce que j'ai apprécié surtout c'est le fait qu'elle ne soit pas « parfaite ». Elle a des formes voluptueuses, ce n'est pas la mannequin taille 34. Ça change un peu (bien évidemment ce n'est pas une critique pour les minces). Puis elle ne rentre pas dans les codes. Elle n'est pas la « lady », elle ne sait pas se comporter comme une véritable duchesse. Mais toutes ses petites imperfections, la rendent parfaite. Olivia est douce, gentille, loyal et très attentionnée. C'est vraiment un personnage que j'ai adoré.
J'ai aimé cette histoire : la mère qui veut rechercher la bonne épouse pour son fils parmi plusieurs. Olivia qui est promise à un duc depuis sa tendre enfance mais elle n'est pas faite pour cette vie. Sa sœur jumelle, Georgianna qui est parfaite dans son rôle et qui ne trouve pas de duc. C'est très agréable à lire, une lecture détente. Il n'y a pas de suspense mais les pages défilent les unes après les autres. Puis elle nous montre que les parents ne peuvent pas nous mettre dans un moule et tout choisir pour leurs enfants.
Les personnages secondaires sont plaisant également. Georgie est mignonne et elle m'a plu de plus en plus au fil des pages. Sans compter le personnage de Rupert. Alors celui-là est vraiment présent qu'au début mais les situations dans lesquelles ils se trouvent m'ont fait rire. Il est un peu « simplet » mais attendrissant. Son personnage est tourné en ridicule et c'est un plaisir pour le lecteur qui se marre, pas pour se moquer mais parce qu'avec Olivia ça crée des situations cocasses. Il y a la petite Lucy, c'est un « personnage » phare mais qui est plaisant. J'ai trouvé ça mignon.
Vous vous doutez bien qu'une réécriture de conte, sans le « prince charmant » ce n'est pas un conte. Le prince n'est pas un prince puisque c'est un duc, plus exactement le duc de Sconce. Quin est froid, il a vécu un événement très difficile qu'il fait qu'il ne croit pas aux sentiments, qu'il ne sait pas rire, ni sourire. Jusqu'à la venue d'Olivia. Olivia est tout ce qu'il rejette, tout ce qu'il veut pas et pourtant... Son personnage est extra, il évolue de chapitre en chapitre. Mais surtout ce que j'ai aimé c'est la romance qui se déroule entre les deux personnages. Celle-ci est prévisible mais ça m'a fait du bien. Ça m'a réchauffé le cœur, ça m'a mis le sourire.
En conclusion, j'ai adoré ce conte. Un point bonus pour les titres des chapitres qui sont vraiment tops et eux aussi ils sont humoristiques puis pour l'épilogue. L'épilogue qui se déroule 13 ans après, permet de voir l'évolution de chacun des personnages. Les personnages sont attachants. Une comédie romantique qui revisite le conte d'une manière originale et plus actuelle. J'ai hâte de lire le prochain tome qui est sur « Le vilain petit canard ». Je vous conseille cette série si vous aimez les réécritures. Je suis emportée à chaque fois au XIXème siècle, au milieu de ces bals et de ces belles robes.