Editions : Belfond
Genre : Thriller
Date de publication : 3 novembre 2016
Nombre de pages : 250
Lettres d’amour d’un assassin…
« Ma chère Jeanne,
J’aimerais que vous m’aimiez comme je vous aime.
Mais, pour m’aimer, il vous faut me connaître.
Savoir ce que je suis… Certains diront un monstre.
D’autres chercheront des explications lointaines, surgies de mon passé.
Beaucoup jugeront, condamneront.
Mais qui comprendra vraiment ? Vous, je l’espère.
Hier soir, j’étais avec une autre femme que vous.
Mais je ne suis pas resté longtemps avec elle.
Juste le temps de la tuer… »
« Ma chère Jeanne,
J’aimerais que vous m’aimiez comme je vous aime.
Mais, pour m’aimer, il vous faut me connaître.
Savoir ce que je suis… Certains diront un monstre.
D’autres chercheront des explications lointaines, surgies de mon passé.
Beaucoup jugeront, condamneront.
Mais qui comprendra vraiment ? Vous, je l’espère.
Hier soir, j’étais avec une autre femme que vous.
Mais je ne suis pas resté longtemps avec elle.
Juste le temps de la tuer… »
Je tiens tout d’abord à remercier les éditions Belfond et Net Galley pour l’envoi de ce service presse.
Karine Giebel est une auteure de thriller qu’on m’a maintes fois conseillée. J’ai donc sauté sur l’occasion quand j’ai vu que les éditions Belfond réédité le roman. Je ne sais pas si c’est parce que j’en espérais trop ou si le roman n’était pas fait pour moi, mais je ressors mitigée voire déçue de ma lecture.
Jeanne travaille dans un commissariat. Une vie rythmée sur la même routine : train + boulot + train + retour à la maison. Jusqu’au jour où elle trouve une lettre portant son nom. Une lettre d’amour signée du serial killer qui sévit actuellement à Marseille. Une correspondance « d’amour » étrange, glauque et morbide commence. En ce qui concerne donc le récit en lui-même, l’intrigue était intéressante. Un tueur qui s’intéresse à cette femme car il voit en elle les mêmes souffrances que lui et qui décide de « les » venger pour apaiser leur peine. J’avoue ne pas m’être attendue à cette résolution de l’intrigue. C’était une bonne idée !
Alors qu’est-ce qui m’a dérangé durant ma lecture ? Premièrement, le récit est bien trop centré pour moi sur les allers-retours de Jeanne en train, sur sa vie quotidienne, plutôt que sur l’intrigue. Je n’ai pas trouvé vraiment le truc qui me fait dire : « il faut absolument que je lise le roman, il y a un suspense de dingue ». Je pense que s’il n’y avait pas eu la correspondance entre les deux personnages, je n’aurai pas continué ma lecture. Je l’ai trouvé plate et monotone. Quelques événements se passent et certains sont assez prévisibles. A part les raisons du tueur de se venger et le lien qu’il a avec Jeanne, le récit ne m’a pas surprise.
Ensuite, je n’ai senti aucun feeling, aucun lien et aucun attachement envers les personnages. Jeanne est très particulière. Elle a des tocs, des peurs, des doutes et une autre particularité que je vous laisse le soin de découvrir. Au fur et à mesure, on comprend son comportement mais c’est vrai que sa personnalité m’a dérangé avant de savoir les raisons. Ensuite, le policier, Fabrice Esposito, chargé de l’affaire, ne m’a pas convaincu lui non plus. Il veut à tout prit arrêter le tueur qui ne réfléchit même plus à ce qu’il fait. Le bon point avec lui c’est qu’il va aider Jeanne dans sa maladie.
Elicius est le personnage le plus intéressant. A travers lui, Karine Giebel nous montre les dégâts de la cruauté humaine. La cruauté et la barbarie peut changer un homme, le briser, le casser au point de le pousser à commettre des crimes odieux. L’auteur a bien développé sa personnalité. Une personnalité intéressante mais qui fait froid dans le dos.
En conclusion, malgré une intrigue intéressante et une personnalité noire du tueur, je n’ai pas accroché à ce thriller psychologique. Je n’ai eu aucun feeling avec les personnages, l’intrigue est pour moi pas assez mise en avant. Une première partie de roman où les dialogues sont très peu présents m’a déstabilisé et un épilogue que je n’ai pas compris. Je ne vois pas le lien avec l’histoire principale. Je lirai un autre roman de l’auteure pour me faire une opinion plus approfondie sur ses écrits.
Karine Giebel est une auteure de thriller qu’on m’a maintes fois conseillée. J’ai donc sauté sur l’occasion quand j’ai vu que les éditions Belfond réédité le roman. Je ne sais pas si c’est parce que j’en espérais trop ou si le roman n’était pas fait pour moi, mais je ressors mitigée voire déçue de ma lecture.
Jeanne travaille dans un commissariat. Une vie rythmée sur la même routine : train + boulot + train + retour à la maison. Jusqu’au jour où elle trouve une lettre portant son nom. Une lettre d’amour signée du serial killer qui sévit actuellement à Marseille. Une correspondance « d’amour » étrange, glauque et morbide commence. En ce qui concerne donc le récit en lui-même, l’intrigue était intéressante. Un tueur qui s’intéresse à cette femme car il voit en elle les mêmes souffrances que lui et qui décide de « les » venger pour apaiser leur peine. J’avoue ne pas m’être attendue à cette résolution de l’intrigue. C’était une bonne idée !
Alors qu’est-ce qui m’a dérangé durant ma lecture ? Premièrement, le récit est bien trop centré pour moi sur les allers-retours de Jeanne en train, sur sa vie quotidienne, plutôt que sur l’intrigue. Je n’ai pas trouvé vraiment le truc qui me fait dire : « il faut absolument que je lise le roman, il y a un suspense de dingue ». Je pense que s’il n’y avait pas eu la correspondance entre les deux personnages, je n’aurai pas continué ma lecture. Je l’ai trouvé plate et monotone. Quelques événements se passent et certains sont assez prévisibles. A part les raisons du tueur de se venger et le lien qu’il a avec Jeanne, le récit ne m’a pas surprise.
Ensuite, je n’ai senti aucun feeling, aucun lien et aucun attachement envers les personnages. Jeanne est très particulière. Elle a des tocs, des peurs, des doutes et une autre particularité que je vous laisse le soin de découvrir. Au fur et à mesure, on comprend son comportement mais c’est vrai que sa personnalité m’a dérangé avant de savoir les raisons. Ensuite, le policier, Fabrice Esposito, chargé de l’affaire, ne m’a pas convaincu lui non plus. Il veut à tout prit arrêter le tueur qui ne réfléchit même plus à ce qu’il fait. Le bon point avec lui c’est qu’il va aider Jeanne dans sa maladie.
Elicius est le personnage le plus intéressant. A travers lui, Karine Giebel nous montre les dégâts de la cruauté humaine. La cruauté et la barbarie peut changer un homme, le briser, le casser au point de le pousser à commettre des crimes odieux. L’auteur a bien développé sa personnalité. Une personnalité intéressante mais qui fait froid dans le dos.
En conclusion, malgré une intrigue intéressante et une personnalité noire du tueur, je n’ai pas accroché à ce thriller psychologique. Je n’ai eu aucun feeling avec les personnages, l’intrigue est pour moi pas assez mise en avant. Une première partie de roman où les dialogues sont très peu présents m’a déstabilisé et un épilogue que je n’ai pas compris. Je ne vois pas le lien avec l’histoire principale. Je lirai un autre roman de l’auteure pour me faire une opinion plus approfondie sur ses écrits.
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