Éditions : l'Archipel
Genre : Thriller
Date de publication : 05 / 03 / 20
Nombre de pages : 378
Genre : Thriller
Date de publication : 05 / 03 / 20
Nombre de pages : 378
Il existe une arme létale que chacun peut embarquer à bord d'un avion.
Aucun contrôle au monde ne peut la détecter...
Un vol de nuit Buenos Aires-Berlin.
Une passagère fragile psychologiquement.
Un psychiatre contraint de la manipuler afin de provoquer le crash de l'appareil. À défaut, sa fille, la seule famille qu'il lui reste, mourra.
Aucun contrôle au monde ne peut la détecter...
Un vol de nuit Buenos Aires-Berlin.
Une passagère fragile psychologiquement.
Un psychiatre contraint de la manipuler afin de provoquer le crash de l'appareil. À défaut, sa fille, la seule famille qu'il lui reste, mourra.
Je remercie les Éditions l'Archipel et Mylène pour l'envoi de ce service presse.
Le 5 mars parution du prochain roman de Sebastian Fitzek, comme chaque année je l'attends impatiemment. Dans quelle étrange histoire allait-il encore nous embarquer ? Un résumé court et intriguant. Je n'avais même pas commencé la première page, que je me posais déjà des questions.
Un véritable plaisir de retrouver son écriture, son suspense et sa tension montant crescendo. L'histoire commence doucement et fort à la fois. Une jeune femme prête à accoucher. Un enlèvement. Une ancienne usine désaffectée où les vaches étaient stockées et traient. Un vol Buenos Aires / Berlin. Une femme psychologiquement instable. Un psychologue. Un père. Une manipulation. Un ultimatum. Une arme létale. Hypothétiquement un crash d'avion. Quel est le lien entre tous ses éléments ? Pourquoi sa fille est-elle kidnappée dans cet endroit ? Quel est cette femme psychologiquement instable ?
Après avoir lu la moitié du roman, ma première réaction était me dire : dingue ! Barge ! Quel est le lien ? Je ne voyais pas le rapport entre les deux et surtout je n'avais aucune idée d'où l'auteur allait nous mener. Plus les pages avancent, plus le suspense grandit, plus les éléments arrivent et plus Fitzek se joue de nous. Il nous manipule. Il nous amène là où il a envie de nous mener et nous, on se laisse porter sans penser une seule seconde qu'on va se faire avoir et que nos théories vont toutes droit dans le mur.
Encore une fois, la fin m'a surprise. Cela on ne peut pas lui reprocher à l'auteur, c'est que les fins on ne s'y attend jamais. Mais je dois dire qu'il m'a manqué quelque chose durant ma lecture. Une étincelle. Celle qui faisait battre mon cœur à 2000, qui me faisait angoissait et avoir peur pour les personnages. Je ne sais pas si c'est le sujet sous-jacent, ce que l'auteur met en lumière dans ce roman qui m'a déstabilisé et prise au dépourvu ou si vraiment il y a quelque chose qui m'a manqué.
Le sujet m'a déstabilisé par son caractère affreux et la manière dont un certain personnage l'utilise pour faire entendre sa voix et montrer son horreur. Je vous avoue que je ne sais toujours pas quoi en penser. Bien évidemment, je suis contre cette pratique et d'une certaine manière je peux comprendre le personnage, mais non on ne fait pas cela pour se faire entendre.
Je m'interroge vraiment sur ce qui m'a manqué à la lecture. Peut-être un peu plus de Waouh ! J'avais l'habitude des fins encore plus surprenantes, celles qui nous marquent, mais celle-ci je l'ai trouvé plus fade, bien que l'épilogue m'aie beaucoup plus par sa beauté et avec une certaine forme de poésie.
En bref, bien que pour moi Siège 7A ne soit pas mon préféré de l'auteur et le moins bien des quatre que j'ai lu, j'ai quand même passé un très bon moment de lecture. Le suspense et la tension sont bien menés. Je vous dis à l'année prochaine Monsieur Fitzek !
Le 5 mars parution du prochain roman de Sebastian Fitzek, comme chaque année je l'attends impatiemment. Dans quelle étrange histoire allait-il encore nous embarquer ? Un résumé court et intriguant. Je n'avais même pas commencé la première page, que je me posais déjà des questions.
Un véritable plaisir de retrouver son écriture, son suspense et sa tension montant crescendo. L'histoire commence doucement et fort à la fois. Une jeune femme prête à accoucher. Un enlèvement. Une ancienne usine désaffectée où les vaches étaient stockées et traient. Un vol Buenos Aires / Berlin. Une femme psychologiquement instable. Un psychologue. Un père. Une manipulation. Un ultimatum. Une arme létale. Hypothétiquement un crash d'avion. Quel est le lien entre tous ses éléments ? Pourquoi sa fille est-elle kidnappée dans cet endroit ? Quel est cette femme psychologiquement instable ?
Après avoir lu la moitié du roman, ma première réaction était me dire : dingue ! Barge ! Quel est le lien ? Je ne voyais pas le rapport entre les deux et surtout je n'avais aucune idée d'où l'auteur allait nous mener. Plus les pages avancent, plus le suspense grandit, plus les éléments arrivent et plus Fitzek se joue de nous. Il nous manipule. Il nous amène là où il a envie de nous mener et nous, on se laisse porter sans penser une seule seconde qu'on va se faire avoir et que nos théories vont toutes droit dans le mur.
Encore une fois, la fin m'a surprise. Cela on ne peut pas lui reprocher à l'auteur, c'est que les fins on ne s'y attend jamais. Mais je dois dire qu'il m'a manqué quelque chose durant ma lecture. Une étincelle. Celle qui faisait battre mon cœur à 2000, qui me faisait angoissait et avoir peur pour les personnages. Je ne sais pas si c'est le sujet sous-jacent, ce que l'auteur met en lumière dans ce roman qui m'a déstabilisé et prise au dépourvu ou si vraiment il y a quelque chose qui m'a manqué.
Le sujet m'a déstabilisé par son caractère affreux et la manière dont un certain personnage l'utilise pour faire entendre sa voix et montrer son horreur. Je vous avoue que je ne sais toujours pas quoi en penser. Bien évidemment, je suis contre cette pratique et d'une certaine manière je peux comprendre le personnage, mais non on ne fait pas cela pour se faire entendre.
Je m'interroge vraiment sur ce qui m'a manqué à la lecture. Peut-être un peu plus de Waouh ! J'avais l'habitude des fins encore plus surprenantes, celles qui nous marquent, mais celle-ci je l'ai trouvé plus fade, bien que l'épilogue m'aie beaucoup plus par sa beauté et avec une certaine forme de poésie.
En bref, bien que pour moi Siège 7A ne soit pas mon préféré de l'auteur et le moins bien des quatre que j'ai lu, j'ai quand même passé un très bon moment de lecture. Le suspense et la tension sont bien menés. Je vous dis à l'année prochaine Monsieur Fitzek !