
Editions : l'Archipel
Genre : Romance / Historique
Date de publication : 15 mars 2017
Nombre de pages : 302
1790. Sept ans après avoir regagné son Angleterre natale, Ross Poldark est parvenu à sauver le domaine familial en déshérence et à relancer l’activité minière. Mais des menaces planent en ce mois de septembre. Une famille de banquiers, les Warleggan, tente de prendre le contrôle de ses affaires, pourtant peu florissantes. Et Ross suspecte son cousin Francis d’être de leur côté pour assouvir sa vengeance.
Ross est dans le même temps accusé d’avoir pillé deux navires qui se sont échoués non loin de chez lui. S’il est reconnu coupable, il risque la mort… Demelza, qu’il avait recueillie puis épousée, se bat pour le défendre. Mais leur amour résistera-t-il à la tempête ?
Monument de la littérature d’évasion, la saga Poldark plonge le lecteur dans les Cornouailles affamées de la fin du xviiie siècle. Décors naturels de toute beauté, trahisons et triangles amoureux, ce roman dépeint une Angleterre où les petits entrepreneurs vacillent sous l’influence croissante des puissances de l’argent. Figure contestataire avant l’heure, Poldark le rebelle personnifie la passion et la sensualité.
Ross est dans le même temps accusé d’avoir pillé deux navires qui se sont échoués non loin de chez lui. S’il est reconnu coupable, il risque la mort… Demelza, qu’il avait recueillie puis épousée, se bat pour le défendre. Mais leur amour résistera-t-il à la tempête ?
Monument de la littérature d’évasion, la saga Poldark plonge le lecteur dans les Cornouailles affamées de la fin du xviiie siècle. Décors naturels de toute beauté, trahisons et triangles amoureux, ce roman dépeint une Angleterre où les petits entrepreneurs vacillent sous l’influence croissante des puissances de l’argent. Figure contestataire avant l’heure, Poldark le rebelle personnifie la passion et la sensualité.
Je tiens tout d’abord à remercier les éditions l’Archipel et LP Conseils pour l’envoi de ce service presse.
Pour ceux qui ont vu mes deux articles sur les deux saisons de la série TV savent mon amour pour elle. L’atmosphère, les personnages et la multitude d’émotion qu’elle me fait sentir, font d’elle un coup de cœur. Les événements de la dernière saison m’ont fait vivre un raz de marée d’émotions, j’attendais au tournant de voir comment l’auteur avait mis en scène ces événements, surtout un en particulier. Le manque de profondeur dans les personnages et dans les sentiments à la lecture du premier tome m’avait déçu, à la lecture de celui-ci l’espoir d’en avoir plus était présent. Malheureusement, encore une fois, le livre m’a déçu à ce niveau là…
Les émotions sont, malheureusement, trop en surface. Il y a un réel manque de profondeur. Les personnages vont vivre des événements difficiles, en particulier, un et dans le roman, l’auteur nous met cela en une phrase en fin de paragraphe, puis hop, il passe à autre chose. Sur ce coup, cela m’a limite fait ni chaud, ni froid… J’ai compatis avec eux, dans les instants difficiles mais sans plus. Je sais bien qu’il ne faut pas s’étaler sur 10 pages à chaque instant, mais je trouve que tout est rapide.
Et à la fois, malgré ce défaut (je commence à m’y habituer), je me sens bien dans l’univers de Winston Graham. Une sorte de frénésie à suivre les péripéties des protagonistes. J’aime les paysages et les décors. J’ai envie de me balader, de parler aux miniers et de me lier d’amitié avec Demelza. Une fois lancée dans ma lecture, je m’y sens bien. La lecture reste simple et fluide. Le roman se lit bien. C’est pour cela et poussée par la curiosité de voir comment l’auteur va amener les choses pour la suite de l’histoire que je lirai la suite.
Au niveau de l’intrigue, on retrouve les personnages là où on les avait laissés au tome précédent. C’est dans ce tome que Ross commence à m’agacer un peu plus (de savoir la suite n’aide pas, je sais que dans le prochain tome il risque de jouer énormément avec mes nerfs). Il veut aider tout le monde mais il n’a pas conscience qu’il a une famille et son orgueil mis de côté pourrait leur faire du bien. Demelza reste fidèle à elle-même, toutes les qualités qui font que je l’aime particulièrement sont là. Elle est merveilleuse et elle est le rayon de soleil de la série. Dans ce tome, j’étais contente de trouver Caroline. Malgré ses petites manières de bourgeoises, elle me plaît. Puis Dennys, il est super ! J’ai hâte de retrouver les personnages que ça soit à la télé ou durant ma lecture du prochain tome.
L’intrigue évolue : les problèmes des mines s’aggravent, il est urgent de trouver une solution. Le danger, la trahison et le deuil guettent les personnages.
En conclusion, cette lecture me fait vivre un véritable paradoxe. Malgré le manque de profondeur des personnages et le manque d’émotions, je ressens comme une sorte d’addiction. Une fois plongée dans l’histoire, je suis bien et j’ai envie de continuer à lire. Les pages défilent toutes seules. Une lecture divertissante et plaisante !
Pour ceux qui ont vu mes deux articles sur les deux saisons de la série TV savent mon amour pour elle. L’atmosphère, les personnages et la multitude d’émotion qu’elle me fait sentir, font d’elle un coup de cœur. Les événements de la dernière saison m’ont fait vivre un raz de marée d’émotions, j’attendais au tournant de voir comment l’auteur avait mis en scène ces événements, surtout un en particulier. Le manque de profondeur dans les personnages et dans les sentiments à la lecture du premier tome m’avait déçu, à la lecture de celui-ci l’espoir d’en avoir plus était présent. Malheureusement, encore une fois, le livre m’a déçu à ce niveau là…
Les émotions sont, malheureusement, trop en surface. Il y a un réel manque de profondeur. Les personnages vont vivre des événements difficiles, en particulier, un et dans le roman, l’auteur nous met cela en une phrase en fin de paragraphe, puis hop, il passe à autre chose. Sur ce coup, cela m’a limite fait ni chaud, ni froid… J’ai compatis avec eux, dans les instants difficiles mais sans plus. Je sais bien qu’il ne faut pas s’étaler sur 10 pages à chaque instant, mais je trouve que tout est rapide.
Et à la fois, malgré ce défaut (je commence à m’y habituer), je me sens bien dans l’univers de Winston Graham. Une sorte de frénésie à suivre les péripéties des protagonistes. J’aime les paysages et les décors. J’ai envie de me balader, de parler aux miniers et de me lier d’amitié avec Demelza. Une fois lancée dans ma lecture, je m’y sens bien. La lecture reste simple et fluide. Le roman se lit bien. C’est pour cela et poussée par la curiosité de voir comment l’auteur va amener les choses pour la suite de l’histoire que je lirai la suite.
Au niveau de l’intrigue, on retrouve les personnages là où on les avait laissés au tome précédent. C’est dans ce tome que Ross commence à m’agacer un peu plus (de savoir la suite n’aide pas, je sais que dans le prochain tome il risque de jouer énormément avec mes nerfs). Il veut aider tout le monde mais il n’a pas conscience qu’il a une famille et son orgueil mis de côté pourrait leur faire du bien. Demelza reste fidèle à elle-même, toutes les qualités qui font que je l’aime particulièrement sont là. Elle est merveilleuse et elle est le rayon de soleil de la série. Dans ce tome, j’étais contente de trouver Caroline. Malgré ses petites manières de bourgeoises, elle me plaît. Puis Dennys, il est super ! J’ai hâte de retrouver les personnages que ça soit à la télé ou durant ma lecture du prochain tome.
L’intrigue évolue : les problèmes des mines s’aggravent, il est urgent de trouver une solution. Le danger, la trahison et le deuil guettent les personnages.
En conclusion, cette lecture me fait vivre un véritable paradoxe. Malgré le manque de profondeur des personnages et le manque d’émotions, je ressens comme une sorte d’addiction. Une fois plongée dans l’histoire, je suis bien et j’ai envie de continuer à lire. Les pages défilent toutes seules. Une lecture divertissante et plaisante !
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