Éditions : Charleston
Genre : Historique
Date de publication : 2018
Nombre de pages : 542
Genre : Historique
Date de publication : 2018
Nombre de pages : 542
D'une rive à l'autre du Saint-Laurent, des familles attachantes aux destins entrecroisés voguent entre amitiés et rivalités, drames déchirants et bonheurs intenses.
Nous voici au XIXe siècle, en bordure du Saint-Laurent, là où le fleuve se mêle à la mer. Deux rives : celle du nord, aride et majestueuse ; celle du sud, tout en vallons et terres fertiles. Des couples et leur parenté : Alexandrine et Clovis, Albert et Victoire, Emma et Matthieu, ainsi que James O'Connor, Irlandais immigré, seul membre de sa famille ayant survécu à la traversée.
À l'aube du XXe siècle, modernité et tradition s'affrontent. Joies, infortunes et espoirs fous ponctuent les jours des témoins de cette ère nouvelle.
Nous voici au XIXe siècle, en bordure du Saint-Laurent, là où le fleuve se mêle à la mer. Deux rives : celle du nord, aride et majestueuse ; celle du sud, tout en vallons et terres fertiles. Des couples et leur parenté : Alexandrine et Clovis, Albert et Victoire, Emma et Matthieu, ainsi que James O'Connor, Irlandais immigré, seul membre de sa famille ayant survécu à la traversée.
À l'aube du XXe siècle, modernité et tradition s'affrontent. Joies, infortunes et espoirs fous ponctuent les jours des témoins de cette ère nouvelle.
Je tiens à remercier les Éditions Charleston pour l'envoie de ce service presse.
Cette maison d'édition a le don pour dénicher des textes étrangers qui sont des petites perles oubliées et cachées. Elle publie des textes de qualité et encore une fois ce roman n'échappe à la règle. Ce livre regroupe les deux premiers tomes d'une série qui en compte quatre au total. Vous allez voir qu'arrivé à la dernière page du premier, vous ne pourrez pas vous empêcher d'enchaîner avec la suite.
De 1887 à 1914, on suit trois familles, trois destins, trois femmes : Victoire, Alexandrine et Emma, amies depuis leur plus tendre enfance. Nous allons vivre leur quotidien dans le Canada du XIXe d'une rive à l'autre du Saint-Laurent. Rivalités, drames et moments de bonheur jalonnent les pages du récit.
Dès les premières pages, Louise Tremblay donne le ton dans sa note d'auteur. Une plume pleine de tendresse qui nous transporte tout doucement et avec légèreté au bord du Saint-Laurent. On voyage au fil des pages avec des paysages à tomber, on sent le souffle du vent dans les cheveux quand nous voguons sur le fleuve. On lit un livre dans le jardin avec le chant des oiseaux et l'odeur des fruits et des légumes du potager. On est bercé par l'accent et le langage canadien. J'étais avec les enfants, à courir dans les champs, avec Mamie à faire la cuisine... Cette lecture m'a faite voyager et m'évader. J'ai aimé découvrir le Canada du XIXe, les croyances et les coutumes comme leur mode de vie.
Malgré un début longuet pour planter le décor, découvrir les différents personnages, je ressors de cette lecture le cœur réchauffé d'amour et avec l'envie de vite retrouver les protagonistes. Je vous l'avoue, je n'ai accroché à l'histoire qu'au bout des 160 premières pages. En numérique, je n'arrivais pas à avancer, à entrer dans le récit surtout que les chapitres sont très longs. Ils peuvent varier entre 20 à 60 pages. Ce n'est qu'au moment où je l'ai reçu en papier que j'ai bien réussi à me plonger dedans.
Je suis partie à l'aventure avec le personnage de James, un Irlandais inoubliable. Charmant, tendre, attentionné, responsable, il protège sa famille et assume ses sentiments : il avait tout pour me plaire. Dans ce genre-là Clovis et Albert ont réussi à m'attendrir ; Clovis comme un mari et Albert plus comme un père ou un grand-père. Contre toute attente, un personnage a réussi à m'amadouer alors qu'au début c'était loin d'être gagné. Le lien fort qui finira par créer avec sa mère est beau. J'ai adoré tout cet amour ! Au contraire, j'ai détesté le personnage de Matthieu. Quel c****** ! Égoïste et jaloux... Un enfant dans un corps d'adulte qui a besoin de faire preuve d'autorité, un peu trop...
Victoire, Alexandrine et Emma m'ont conquise chacune à leur façon. J'ai souri, j'ai ri et j'ai pleuré à leurs côtés. Elles sont toutes les trois uniques. Elles dégagent quelque chose de fort et elles sont fortes. La vie ne les épargnera pas. Elles vont vivre des drames. J'ai été totalement bouleversée. Même au moment où je pressentais la catastrophe, j'avais espoir jusqu'au bout que les choses changent. Et quand les événements se déroulaient, j'étais révoltée, en colère, dans le déni, contre la vie, contre l'injustice du destin. La vie à cette époque est dure mais ces drames même à notre époque nous pouvons les vivre, on est à l'abri de rien, notamment pas celui de perdre un être qui nous est cher. Et malgré tout cela, elles gardent la tête haute et elles vont s'épauler et s'entraider.
En conclusion, ce roman regorge d'amour ; celui entre amis, pour nos enfants, pour notre famille, notre mari, notre femme et pour la vie. Les personnages ne vont jamais lâcher prise, ils continuent à croire au bonheur et ils se battent. Ils sont unis, soudés mais aussi désaccordés et pour autant ils ne se lâcheront pas la main. Même si ce roman se déroule dans une autre époque, les valeurs véhiculées sont universelles. Tout n'est pas tout rose, il y a des hauts et des bas, et tout ce que je retiens c'est cette amour. Les gestes des personnages sont conduits par ce sentiment ; bon peut-être pas tous... Je me suis retrouvée en chacun des protagonistes. Je les ai aimé d'un amour fort et sincère. J'avais envie de jouer avec les enfants, d'être avec eux, de leur serrer la main, de les prendre dans mes bras et de les conduire vers sur le chemin du bonheur.
Cette maison d'édition a le don pour dénicher des textes étrangers qui sont des petites perles oubliées et cachées. Elle publie des textes de qualité et encore une fois ce roman n'échappe à la règle. Ce livre regroupe les deux premiers tomes d'une série qui en compte quatre au total. Vous allez voir qu'arrivé à la dernière page du premier, vous ne pourrez pas vous empêcher d'enchaîner avec la suite.
De 1887 à 1914, on suit trois familles, trois destins, trois femmes : Victoire, Alexandrine et Emma, amies depuis leur plus tendre enfance. Nous allons vivre leur quotidien dans le Canada du XIXe d'une rive à l'autre du Saint-Laurent. Rivalités, drames et moments de bonheur jalonnent les pages du récit.
Dès les premières pages, Louise Tremblay donne le ton dans sa note d'auteur. Une plume pleine de tendresse qui nous transporte tout doucement et avec légèreté au bord du Saint-Laurent. On voyage au fil des pages avec des paysages à tomber, on sent le souffle du vent dans les cheveux quand nous voguons sur le fleuve. On lit un livre dans le jardin avec le chant des oiseaux et l'odeur des fruits et des légumes du potager. On est bercé par l'accent et le langage canadien. J'étais avec les enfants, à courir dans les champs, avec Mamie à faire la cuisine... Cette lecture m'a faite voyager et m'évader. J'ai aimé découvrir le Canada du XIXe, les croyances et les coutumes comme leur mode de vie.
Malgré un début longuet pour planter le décor, découvrir les différents personnages, je ressors de cette lecture le cœur réchauffé d'amour et avec l'envie de vite retrouver les protagonistes. Je vous l'avoue, je n'ai accroché à l'histoire qu'au bout des 160 premières pages. En numérique, je n'arrivais pas à avancer, à entrer dans le récit surtout que les chapitres sont très longs. Ils peuvent varier entre 20 à 60 pages. Ce n'est qu'au moment où je l'ai reçu en papier que j'ai bien réussi à me plonger dedans.
Je suis partie à l'aventure avec le personnage de James, un Irlandais inoubliable. Charmant, tendre, attentionné, responsable, il protège sa famille et assume ses sentiments : il avait tout pour me plaire. Dans ce genre-là Clovis et Albert ont réussi à m'attendrir ; Clovis comme un mari et Albert plus comme un père ou un grand-père. Contre toute attente, un personnage a réussi à m'amadouer alors qu'au début c'était loin d'être gagné. Le lien fort qui finira par créer avec sa mère est beau. J'ai adoré tout cet amour ! Au contraire, j'ai détesté le personnage de Matthieu. Quel c****** ! Égoïste et jaloux... Un enfant dans un corps d'adulte qui a besoin de faire preuve d'autorité, un peu trop...
Victoire, Alexandrine et Emma m'ont conquise chacune à leur façon. J'ai souri, j'ai ri et j'ai pleuré à leurs côtés. Elles sont toutes les trois uniques. Elles dégagent quelque chose de fort et elles sont fortes. La vie ne les épargnera pas. Elles vont vivre des drames. J'ai été totalement bouleversée. Même au moment où je pressentais la catastrophe, j'avais espoir jusqu'au bout que les choses changent. Et quand les événements se déroulaient, j'étais révoltée, en colère, dans le déni, contre la vie, contre l'injustice du destin. La vie à cette époque est dure mais ces drames même à notre époque nous pouvons les vivre, on est à l'abri de rien, notamment pas celui de perdre un être qui nous est cher. Et malgré tout cela, elles gardent la tête haute et elles vont s'épauler et s'entraider.
En conclusion, ce roman regorge d'amour ; celui entre amis, pour nos enfants, pour notre famille, notre mari, notre femme et pour la vie. Les personnages ne vont jamais lâcher prise, ils continuent à croire au bonheur et ils se battent. Ils sont unis, soudés mais aussi désaccordés et pour autant ils ne se lâcheront pas la main. Même si ce roman se déroule dans une autre époque, les valeurs véhiculées sont universelles. Tout n'est pas tout rose, il y a des hauts et des bas, et tout ce que je retiens c'est cette amour. Les gestes des personnages sont conduits par ce sentiment ; bon peut-être pas tous... Je me suis retrouvée en chacun des protagonistes. Je les ai aimé d'un amour fort et sincère. J'avais envie de jouer avec les enfants, d'être avec eux, de leur serrer la main, de les prendre dans mes bras et de les conduire vers sur le chemin du bonheur.