Editions : Rageot
Genre : Fantasy YA
Date de publication : 02 / 09 / 20
Nombre de pages : 531
Genre : Fantasy YA
Date de publication : 02 / 09 / 20
Nombre de pages : 531
Jude a 17 ans et vit à la Haute Cour de Domelfe dans le royaume de Terrafæ. Enlevée au monde des mortels lorsqu’elle n’était qu’une enfant et élevée avec ses sœurs parmi les puissants, elle a appris à se protéger des sortilèges et à se battre à l’épée. Pourtant, elle subit jour après jour les moqueries et les insultes. Car elle n’est qu’une humaine, vouée à la mort, dans un monde où règnent les Fæs, créatures sublimes, immortelles… et cruelles.
Personne ne la hait plus que le Prince Cardan. Le plus jeune des héritiers de la couronne semble décidé à lui nuire. Jusqu’à la tuer ? Mais Jude, elle, est prête à tout pour gagner sa place à la cour et reprendre le pouvoir sur sa vie.
Personne ne la hait plus que le Prince Cardan. Le plus jeune des héritiers de la couronne semble décidé à lui nuire. Jusqu’à la tuer ? Mais Jude, elle, est prête à tout pour gagner sa place à la cour et reprendre le pouvoir sur sa vie.
Je remercie les Éditions Rageot pour l'envoi de ce roman.
Le Prince Cruel est une des sorties que j'attendais le plus impatiemment de découvrir. Quand il est arrivé dans ma boîte aux lettres j'étais toute excitée à l'idée de me lancer dans sa lecture. C'est accompagnée de ma jolie Andrealitdeslivres que j'ai découvert l'univers de Holly Black. J'ai adoré ma lecture !
Ce premier tome pose les bases de l'univers peuplé de créatures inspirées du folklore-saxon. D'ailleurs, à la fin du roman est disponible un glossaire qui explique quelles sont ces créatures et leurs particularités. Bien que cela soit un premier tome, on ne s'ennuie pas. Holly Black nous dévoile de manière judicieuse – entre actions, révélations, rebondissements – on n'a pas le temps de s'ennuyer un seul instant. J'ai trouvé sa plume – la traduction – fluide. Les pages se tournent rapidement, on découvre, on dévore, on est happé. Le Prince Cruel, comme son nom l'indique, n'est pas l'univers des bisounours. C'est une histoire sombre, pleine de cruauté, de sang, de guerre, de complot et de violence qui s'ouvre à nous. Certaines scènes m'ont particulièrement marqué par leur violence... Si vous craignez le sang, vous allez devoir fermer les yeux. Je le conseille à un public grands adolescents / adultes et pour tous les amoureux de fantasy, de bataille, de trahison.
Cet univers me plaît et il est annonciateur d'une trilogie trépidante, exaltante où à chaque page nous pouvons être surpris. J'aime beaucoup les univers de fées, de pixie, tout ce qui touche au folklore et à la culture de nos amis du nord. J'ai adoré me plonger dedans, évoluer parmi eux. Je suis impatiente de voir tout ce que le monde de Holly Black à nous offrir.
Dès les premières pages, la couleur est posée. On sait qu'on vient de rentrer dans un monde cruel. L'intrigue est rondement bien mené. L'action est présente tout le long de récit, rendant notre lecture palpitante et addictif. Les rebondissements sont là et les premières révélations nous prennent par surprises. Il y en a qu'une seule, mais petite comparé aux autres, que j'ai deviné. Donc vraiment, j'ai été surprise et n'est pas vu venir des éléments. Certaines révélations étaient complètement dingues. Jusqu'à la dernière page, tout n'est pas encore joué. Et quand on y arrive, on a qu'une envie c'est de se précipiter sur la suite. L'intrigue, l'univers n'ont pas dit leur dernier mot.
Les personnages m'ont également surprise. Je ne pensais pas que certains aller évoluer de cette manière : double-jeu, secrets, complots. Quand arrive l'heure des révélations, je suis restée sur les fesses car je n'avais rien vu venir. Je ne trouve pas l'univers de Holly Black complexe. Toute la complexité se trouve dans ses protagonistes. On sent que l'autrice a travailler ses personnages, leur caractère et leur évolution. J'en ai aimé, j'en ai détesté et profondément haï certains. J'ai beaucoup aimé notre héroïne Jude. Elle n'a pas froid aux yeux et n'est pas ce qu'on appelle une héroïne parfaite. Non, elle a des doutes et a une part sombre en elle. Elle est prête à tout pour avoir le pouvoir. Quitte à laisser sa peur de côté, de défier et de se lancer dans des entreprises périlleuses – j'avoue qu'à certains moments, je l'ai trouvé un peu inconsciente. Elle se lance par impulsivité mais ne réfléchit pas forcément aux conséquences, ou bien si quand il est trop tard. Mais c'est aussi une héroïne qui fait preuve de courage, et qui peut se montrer généreuse et tendre (même si ce n'est pas l'adjectif premier que j'utiliserai pour la qualifier). J'ai aimé sa complexité et tout son caractère.
En bref, Le Prince Cruel met en place un univers sombre, froid, calculateur et cruel. L'intrigue démarre sur les chapeaux der roues : actions, révélations et rebondissements sont au rendez-vous. Le tout accompagné de personnages complexes avec lesquels il faut toujours rester sur ses gardes ; au jeu du pouvoir, on peut très vite se faire surprendre. J'ai aimé l'univers peuplés de créatures enchanteresses, belles mais qui peuvent se révéler viles et sournoises. Complots, trahisons, sangs et batailles. Le Prince Cruel annonce une trilogie trépidante !
Le Prince Cruel est une des sorties que j'attendais le plus impatiemment de découvrir. Quand il est arrivé dans ma boîte aux lettres j'étais toute excitée à l'idée de me lancer dans sa lecture. C'est accompagnée de ma jolie Andrealitdeslivres que j'ai découvert l'univers de Holly Black. J'ai adoré ma lecture !
Ce premier tome pose les bases de l'univers peuplé de créatures inspirées du folklore-saxon. D'ailleurs, à la fin du roman est disponible un glossaire qui explique quelles sont ces créatures et leurs particularités. Bien que cela soit un premier tome, on ne s'ennuie pas. Holly Black nous dévoile de manière judicieuse – entre actions, révélations, rebondissements – on n'a pas le temps de s'ennuyer un seul instant. J'ai trouvé sa plume – la traduction – fluide. Les pages se tournent rapidement, on découvre, on dévore, on est happé. Le Prince Cruel, comme son nom l'indique, n'est pas l'univers des bisounours. C'est une histoire sombre, pleine de cruauté, de sang, de guerre, de complot et de violence qui s'ouvre à nous. Certaines scènes m'ont particulièrement marqué par leur violence... Si vous craignez le sang, vous allez devoir fermer les yeux. Je le conseille à un public grands adolescents / adultes et pour tous les amoureux de fantasy, de bataille, de trahison.
Cet univers me plaît et il est annonciateur d'une trilogie trépidante, exaltante où à chaque page nous pouvons être surpris. J'aime beaucoup les univers de fées, de pixie, tout ce qui touche au folklore et à la culture de nos amis du nord. J'ai adoré me plonger dedans, évoluer parmi eux. Je suis impatiente de voir tout ce que le monde de Holly Black à nous offrir.
Dès les premières pages, la couleur est posée. On sait qu'on vient de rentrer dans un monde cruel. L'intrigue est rondement bien mené. L'action est présente tout le long de récit, rendant notre lecture palpitante et addictif. Les rebondissements sont là et les premières révélations nous prennent par surprises. Il y en a qu'une seule, mais petite comparé aux autres, que j'ai deviné. Donc vraiment, j'ai été surprise et n'est pas vu venir des éléments. Certaines révélations étaient complètement dingues. Jusqu'à la dernière page, tout n'est pas encore joué. Et quand on y arrive, on a qu'une envie c'est de se précipiter sur la suite. L'intrigue, l'univers n'ont pas dit leur dernier mot.
Les personnages m'ont également surprise. Je ne pensais pas que certains aller évoluer de cette manière : double-jeu, secrets, complots. Quand arrive l'heure des révélations, je suis restée sur les fesses car je n'avais rien vu venir. Je ne trouve pas l'univers de Holly Black complexe. Toute la complexité se trouve dans ses protagonistes. On sent que l'autrice a travailler ses personnages, leur caractère et leur évolution. J'en ai aimé, j'en ai détesté et profondément haï certains. J'ai beaucoup aimé notre héroïne Jude. Elle n'a pas froid aux yeux et n'est pas ce qu'on appelle une héroïne parfaite. Non, elle a des doutes et a une part sombre en elle. Elle est prête à tout pour avoir le pouvoir. Quitte à laisser sa peur de côté, de défier et de se lancer dans des entreprises périlleuses – j'avoue qu'à certains moments, je l'ai trouvé un peu inconsciente. Elle se lance par impulsivité mais ne réfléchit pas forcément aux conséquences, ou bien si quand il est trop tard. Mais c'est aussi une héroïne qui fait preuve de courage, et qui peut se montrer généreuse et tendre (même si ce n'est pas l'adjectif premier que j'utiliserai pour la qualifier). J'ai aimé sa complexité et tout son caractère.
En bref, Le Prince Cruel met en place un univers sombre, froid, calculateur et cruel. L'intrigue démarre sur les chapeaux der roues : actions, révélations et rebondissements sont au rendez-vous. Le tout accompagné de personnages complexes avec lesquels il faut toujours rester sur ses gardes ; au jeu du pouvoir, on peut très vite se faire surprendre. J'ai aimé l'univers peuplés de créatures enchanteresses, belles mais qui peuvent se révéler viles et sournoises. Complots, trahisons, sangs et batailles. Le Prince Cruel annonce une trilogie trépidante !
