Éditions : OLPF / Gallimard Jeunesse
Genre : Fantasy / YA
Date de publication : 01 / 06 / 17
Nombre de pages : 485
Genre : Fantasy / YA
Date de publication : 01 / 06 / 17
Nombre de pages : 485
Deux ans et sept mois qu’Ophélie se morfond sur son arche d’Anima. Aujourd’hui il lui faut agir, exploiter ce qu’elle a appris à la lecture du Livre de Farouk et les bribes d’informations divulguées par Dieu. Sous une fausse identité, Ophélie rejoint Babel, arche cosmopolite et joyau de modernité. Ses talents de liseuse suffiront-ils à déjouer les pièges d’adversaires toujours plus redoutables ? A-t-elle la moindre chance de retrouver la trace de Thorn ?
Chaque mois c'est un plaisir de retrouver la plume de Christelle Dabos. Chaque mois depuis décembre je découvre un tome sa série La Passe-Miroir. Chaque mois c'est une lecture que j'attends avec impatience. Chaque mois, c'est un véritable plaisir, une immersion totale. Pourquoi chaque mois ? Pour faire durer le plaisir plus longtemps, car ça y est il est temps au mois de mars de découvrir le final, les secrets de l'univers mais surtout au revoir à des personnages extraordinaires.
La Cité de Babel nous révèle des secrets saisissants et à la fois qui font froid dans le dos. Je n'ai pas aimé cette cité : malsaine, manipulatrice et noire. À côté le Pôle c'est du gâteau. Je n'aimerai pas y vivre et d'ailleurs Ophélie va être mise à rude épreuve. Si au Pôle, elle a réussi à s'en sortir avec courage, ici, à Babel elle va devoir redoubler d'efforts et d'attention, car il y a des yeux et des oreilles malveillantes de partout.
Christelle Dabos, au travers de sa cité, dénonce et met en lumière certains éléments de notre propre société ou ce qu'à pu être notre société : garder sous contrôle les faits, les gestes, les pensées et les dires de la population, les empêcher d'accéder au savoir. J'ai beaucoup aimé cet aspect de l'histoire. Une cité oppressée et des habitants lobotomisés. Cela m'a amené à réfléchir et à me poser des questions. Non, c'est certain je préfère le Pôle, plus sanglant certes mais au moins plus franc.
L'univers de Christelle Dabos est toujours fascinant et addictif. J'aime le voir se développer, les secrets, les révélations affluer de pages en pages et les liens entre chaque élément prendre place. Certains passages me demandent une relecture, parce qu'en lisant je n'arrive pas à tout visualiser ou alors parce que j'ai peur d'avoir manqué un élément. Car l'auteure est une adepte pour nous dire des choses, sans trop nous en dire pour que le moment prenne tout son sens dans le chapitre suivant. Et c'est vrai que plusieurs fois je suis obligée de relire parce que j'ai peur d'avoir loupé une information et de ne pas avoir très bien compris. Bizarrement, cela ne me gêne pas. Je n'ai pas l'impression que cela me coupe ma lecture, au contraire, cela me fait m'immerger encore plus.
Dans ce tome, les personnages m'ont donné du fil à retordre. Entre ceux de la cité qui sont de vrais barbares, manipulateurs et qu'on ne peut se fier à personne et Ophélie et Thorn qui n'en font qu'à leur tête, je ne savais plus sur qui j'avais le plus envie de râler. C'est deux derniers, j'avais envie de les secouer pour qu'ils se réveillent. Puis, j'ai trouvé Ophélie beaucoup plus passive dans ce tome que dans le précédent. C'est une battante, elle est courageuse et forte. Même si je comprends pourquoi elle s'est faite plus discrète et qu'elle a accepté plus de choses ici, j'ai quand même hâte de la voir revenir en force. Mais les deux protagonistes ensemble forment un super beau duo. J'ai aimé voir l'évolution de leur relation. C'était beau et ça a fait battre mon petit cœur chamallow.
Cela a été un plaisir de faire la connaissance de Blasius, j'adore ce personnage et de retrouver les autres : Bérénilde, Rosaline, Renard, Gaëlle, Archibald et même une petite dernière, Victoire. Je suis impatiente de percer le mystère qui plane autour de ses capacités hors du commun. Cette petite est une petite originale. J'ai même aimé les passages où on voit Farouk, un en particulier, m'a touché.
La Mémoire de Babel nous livre ses secrets mais laisse planer beaucoup de mystères et nos personnages sont (peut-être, un peu, beaucoup) dans une position délicate. La fin est complètement ouf et nous donne envie de nous jeter sur la suite. Je suis impatiente et à la fois réticente... Vais-je aimer ? Vais-je réussir à dire au revoir aux personnages et à l'univers sans que mon cœur ne se brise ? Rendez-vous dans quelques jours pour le découvrir.
La Cité de Babel nous révèle des secrets saisissants et à la fois qui font froid dans le dos. Je n'ai pas aimé cette cité : malsaine, manipulatrice et noire. À côté le Pôle c'est du gâteau. Je n'aimerai pas y vivre et d'ailleurs Ophélie va être mise à rude épreuve. Si au Pôle, elle a réussi à s'en sortir avec courage, ici, à Babel elle va devoir redoubler d'efforts et d'attention, car il y a des yeux et des oreilles malveillantes de partout.
Christelle Dabos, au travers de sa cité, dénonce et met en lumière certains éléments de notre propre société ou ce qu'à pu être notre société : garder sous contrôle les faits, les gestes, les pensées et les dires de la population, les empêcher d'accéder au savoir. J'ai beaucoup aimé cet aspect de l'histoire. Une cité oppressée et des habitants lobotomisés. Cela m'a amené à réfléchir et à me poser des questions. Non, c'est certain je préfère le Pôle, plus sanglant certes mais au moins plus franc.
L'univers de Christelle Dabos est toujours fascinant et addictif. J'aime le voir se développer, les secrets, les révélations affluer de pages en pages et les liens entre chaque élément prendre place. Certains passages me demandent une relecture, parce qu'en lisant je n'arrive pas à tout visualiser ou alors parce que j'ai peur d'avoir manqué un élément. Car l'auteure est une adepte pour nous dire des choses, sans trop nous en dire pour que le moment prenne tout son sens dans le chapitre suivant. Et c'est vrai que plusieurs fois je suis obligée de relire parce que j'ai peur d'avoir loupé une information et de ne pas avoir très bien compris. Bizarrement, cela ne me gêne pas. Je n'ai pas l'impression que cela me coupe ma lecture, au contraire, cela me fait m'immerger encore plus.
Dans ce tome, les personnages m'ont donné du fil à retordre. Entre ceux de la cité qui sont de vrais barbares, manipulateurs et qu'on ne peut se fier à personne et Ophélie et Thorn qui n'en font qu'à leur tête, je ne savais plus sur qui j'avais le plus envie de râler. C'est deux derniers, j'avais envie de les secouer pour qu'ils se réveillent. Puis, j'ai trouvé Ophélie beaucoup plus passive dans ce tome que dans le précédent. C'est une battante, elle est courageuse et forte. Même si je comprends pourquoi elle s'est faite plus discrète et qu'elle a accepté plus de choses ici, j'ai quand même hâte de la voir revenir en force. Mais les deux protagonistes ensemble forment un super beau duo. J'ai aimé voir l'évolution de leur relation. C'était beau et ça a fait battre mon petit cœur chamallow.
Cela a été un plaisir de faire la connaissance de Blasius, j'adore ce personnage et de retrouver les autres : Bérénilde, Rosaline, Renard, Gaëlle, Archibald et même une petite dernière, Victoire. Je suis impatiente de percer le mystère qui plane autour de ses capacités hors du commun. Cette petite est une petite originale. J'ai même aimé les passages où on voit Farouk, un en particulier, m'a touché.
La Mémoire de Babel nous livre ses secrets mais laisse planer beaucoup de mystères et nos personnages sont (peut-être, un peu, beaucoup) dans une position délicate. La fin est complètement ouf et nous donne envie de nous jeter sur la suite. Je suis impatiente et à la fois réticente... Vais-je aimer ? Vais-je réussir à dire au revoir aux personnages et à l'univers sans que mon cœur ne se brise ? Rendez-vous dans quelques jours pour le découvrir.