Est-ce de l’amour ? De l’obsession ? Glissez-vous dans la peau d’un psychopathe pour qui la différence entre les deux est si infime… Lorsque Beck pousse la porte de sa librairie, Joe est immédiatement sous le charme. Ravissante, effrontée, sexy, elle est tout simplement tout ce qu’il cherche chez une femme. Et quand Joe aime, c’est d’un amour total, inconditionnel. Obsessionnel. Dangereux ? Il commence par infiltrer la vie de Beck par tous les moyens. Il se procure accès à ses mails, la suit virtuellement sur les réseaux sociaux et physiquement dans les rues de New York. Comme il sait tout d’elle, il devance ses moindres désirs. Il est sensible, romantique, toujours au bon moment au bon endroit. Mais si Beck ignore l’ampleur de l’obsession de son nouveau petit ami, Joe ne connaît pas non plus toutes les facettes de sa proie…
Je tiens tout d'abord à remercier les éditions Kero pour l'envoie de ce service presse.
Le Thriller est un genre que j'affectionne tout particulièrement, bien que j'en lise moins que la romance ou le young-adult. Je n'en lis pas souvent, car ce sont des lectures souvent « lourdes » dans le sens où le lecteur est pris dans le roman et que se sont des romans sombres, durs et pesants. Puis j'aime que leurs histoires soient construits, qu'ils m'emportent dedans et que je devienne accro à ma lecture. Dans les éditions Kero, les deux thrillers que j'ai lu ne m'ont pas du tout déçu. La couverture de celui-là était belle, le titre accrocheur et le résumé me plaisait bien. Je ne connaissais pas l'auteure donc c'était aussi l'occasion de découvrir son écriture.
Les premiers avis sur la blogosphère sont assez mitigés et après lecture du roman, je peux tout à fait comprendre les raisons. Pour ma part, j'ai beaucoup aimé. Ce roman est très particulier, tant au niveau de l'écriture que du récit. C'est cette particularité qui m'a plu.
Joe est libraire, il travaille dans cette librairie dans son enfance et son propriétaire lui a légué la gérance de celle-ci. Il mène une vie monotone, il se plaint sans cesse de ces clients, de la vie et de son quotidien. Un jour, il fera la rencontre de Beck. Elle est à l'université. Il tombe amoureux d'elle, plus que de l'amour, c'est une véritable obsession. Puisqu'il la traque, la suit de partout, l'espionne, fouille et pique ses affaires et il en fait une véritable collection. Toutes ses pensées vont vers Beck. Mais Beck n'est pas celle qu'il croit. Elle le mène en bateau, joue avec les hommes et n'est pas stable dans sa vie.
Je vais commencer par exprimer mes sentiments vis-à-vis des personnages. Joe est clairement un psychopathe, un dingue, un fou. Il faudrait le faire interner. Il m'a mis mal à l'aise à de nombreuses reprises. Tout le long de la lecture, nous sommes dans sa tête. Nous suivons la moindre de ses pensées, de ses faits et gestes. Je ne veux vraiment pas rencontrer quelqu'un comme ça dans ma vie, il fait froid dans le dos. C'est un psychopathe, obsessionnel, s'imaginant scénario sur scénario. Il a une idée en tête et il va jusqu'au bout de son obsession.
C'est un fou mais en même temps c'est un génie. Il élabore des plans, des stratégies. Il est très intelligent, puis à première vue il a l'air totalement inoffensif. S'en est encore plus flippant. Je dis bravo à Caroline Klepnes qui a fait du bon travail sur la psychologie du personnage. Nous sommes vraiment dans la tête d'une personne qui a besoin de se faire soigner. J'ai vraiment eu l'impression que Joe s'adressait à moi.
A côté nous avons le personnage de Beck, l'obsession de Joe. Beck n'est pas une psychopathe mais elle a un problème aussi. Celui de la mythomanie, mélangé à de l'égocentricité. Beck aime être le centre du monde, qu'on l'a regarde, qu'on l'admire et que tout le monde aime. Son personnage m'a dérangé comme celui de Joe. Au final, je trouve qu'ils vont bien ensemble. Ils sont dingos.
Le roman a une forme atypique. Ce n'est seulement que la deuxième fois que je lis un livre sous cette forme de narration, découverte avec Lettre à mon ravisseur de Lucy Christopher. La narration du roman est à la première et à la deuxième personne. Cela ne m'a pas du tout dérangé mais gêné. Cependant, pas de manière négative. Ça m'a gêné car le roman m'a mis mal à l'aise. J'avais vraiment l'impression que Joe s'adressait directement à moi, que c'était de moi qu'il parlait. Mais c'est ce que j'aime, si le roman me mal à l'aise c'est qu'il me touche et qu'il me plaît surtout dans ce genre littéraire. Ça m'a permis d'être encore plus dans l'histoire.
J'ai été happé au niveau de l'intrigue. Je voulais savoir jusqu'où était capable d'aller la folie de Joe. Les pages ont tourné d'elles-mêmes et j'ai vraiment été prise par l'histoire. Après, nous suivons le quotidien du protagoniste donc il ne se passe pas toujours des trucs bien palpitants. Mais je ne me suis pas ennuyée, j'ai trouvé l'histoire bien écrite, bien formulée. Par rapport à la fin, dès le début je savais qu'un événement se passerait mais après je ne pensais pas que le dernier chapitre serait ça. Par contre, il n'y a pas besoin de suite. Le roman se termine très bien tel quel, je me suis imaginée la suite du récit toute seule et j'en suis satisfaite.
En conclusion, je me suis plongée dans ce thriller glaçant. L'auteure nous offre un vrai psychopathe, deux personnages déjantés. L'écriture et la narration est un plus bénéfique pour le récit, c'est ce qui m'a permis de me plonger dedans. Les pages se sont tournés, je me suis prise au jeu. C'est un roman particulier, dérangeant, qui met mal à l'aise son lecteur.
Le Thriller est un genre que j'affectionne tout particulièrement, bien que j'en lise moins que la romance ou le young-adult. Je n'en lis pas souvent, car ce sont des lectures souvent « lourdes » dans le sens où le lecteur est pris dans le roman et que se sont des romans sombres, durs et pesants. Puis j'aime que leurs histoires soient construits, qu'ils m'emportent dedans et que je devienne accro à ma lecture. Dans les éditions Kero, les deux thrillers que j'ai lu ne m'ont pas du tout déçu. La couverture de celui-là était belle, le titre accrocheur et le résumé me plaisait bien. Je ne connaissais pas l'auteure donc c'était aussi l'occasion de découvrir son écriture.
Les premiers avis sur la blogosphère sont assez mitigés et après lecture du roman, je peux tout à fait comprendre les raisons. Pour ma part, j'ai beaucoup aimé. Ce roman est très particulier, tant au niveau de l'écriture que du récit. C'est cette particularité qui m'a plu.
Joe est libraire, il travaille dans cette librairie dans son enfance et son propriétaire lui a légué la gérance de celle-ci. Il mène une vie monotone, il se plaint sans cesse de ces clients, de la vie et de son quotidien. Un jour, il fera la rencontre de Beck. Elle est à l'université. Il tombe amoureux d'elle, plus que de l'amour, c'est une véritable obsession. Puisqu'il la traque, la suit de partout, l'espionne, fouille et pique ses affaires et il en fait une véritable collection. Toutes ses pensées vont vers Beck. Mais Beck n'est pas celle qu'il croit. Elle le mène en bateau, joue avec les hommes et n'est pas stable dans sa vie.
Je vais commencer par exprimer mes sentiments vis-à-vis des personnages. Joe est clairement un psychopathe, un dingue, un fou. Il faudrait le faire interner. Il m'a mis mal à l'aise à de nombreuses reprises. Tout le long de la lecture, nous sommes dans sa tête. Nous suivons la moindre de ses pensées, de ses faits et gestes. Je ne veux vraiment pas rencontrer quelqu'un comme ça dans ma vie, il fait froid dans le dos. C'est un psychopathe, obsessionnel, s'imaginant scénario sur scénario. Il a une idée en tête et il va jusqu'au bout de son obsession.
C'est un fou mais en même temps c'est un génie. Il élabore des plans, des stratégies. Il est très intelligent, puis à première vue il a l'air totalement inoffensif. S'en est encore plus flippant. Je dis bravo à Caroline Klepnes qui a fait du bon travail sur la psychologie du personnage. Nous sommes vraiment dans la tête d'une personne qui a besoin de se faire soigner. J'ai vraiment eu l'impression que Joe s'adressait à moi.
A côté nous avons le personnage de Beck, l'obsession de Joe. Beck n'est pas une psychopathe mais elle a un problème aussi. Celui de la mythomanie, mélangé à de l'égocentricité. Beck aime être le centre du monde, qu'on l'a regarde, qu'on l'admire et que tout le monde aime. Son personnage m'a dérangé comme celui de Joe. Au final, je trouve qu'ils vont bien ensemble. Ils sont dingos.
Le roman a une forme atypique. Ce n'est seulement que la deuxième fois que je lis un livre sous cette forme de narration, découverte avec Lettre à mon ravisseur de Lucy Christopher. La narration du roman est à la première et à la deuxième personne. Cela ne m'a pas du tout dérangé mais gêné. Cependant, pas de manière négative. Ça m'a gêné car le roman m'a mis mal à l'aise. J'avais vraiment l'impression que Joe s'adressait directement à moi, que c'était de moi qu'il parlait. Mais c'est ce que j'aime, si le roman me mal à l'aise c'est qu'il me touche et qu'il me plaît surtout dans ce genre littéraire. Ça m'a permis d'être encore plus dans l'histoire.
J'ai été happé au niveau de l'intrigue. Je voulais savoir jusqu'où était capable d'aller la folie de Joe. Les pages ont tourné d'elles-mêmes et j'ai vraiment été prise par l'histoire. Après, nous suivons le quotidien du protagoniste donc il ne se passe pas toujours des trucs bien palpitants. Mais je ne me suis pas ennuyée, j'ai trouvé l'histoire bien écrite, bien formulée. Par rapport à la fin, dès le début je savais qu'un événement se passerait mais après je ne pensais pas que le dernier chapitre serait ça. Par contre, il n'y a pas besoin de suite. Le roman se termine très bien tel quel, je me suis imaginée la suite du récit toute seule et j'en suis satisfaite.
En conclusion, je me suis plongée dans ce thriller glaçant. L'auteure nous offre un vrai psychopathe, deux personnages déjantés. L'écriture et la narration est un plus bénéfique pour le récit, c'est ce qui m'a permis de me plonger dedans. Les pages se sont tournés, je me suis prise au jeu. C'est un roman particulier, dérangeant, qui met mal à l'aise son lecteur.
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