Éditions : Fayard
Genre : Contemporain
Date de publication : 02 / 05 / 19
Nombre de pages : 349
Genre : Contemporain
Date de publication : 02 / 05 / 19
Nombre de pages : 349
"Lorsque nous avons emménagé impasse des Colibris, nous avions vingt ans, ça sentait la peinture fraîche et les projets, nous nous prêtions main-forte entre voisins en traversant les jardins non clôturés. Soixante-trois ans plus tard, les haies ont poussé, nos souvenirs sont accrochés aux murs et nous ne nous adressons la parole qu'en cas de nécessité absolue. Nous ne sommes plus que six : Anatole, Joséphine, Marius, Rosalie, Gustave et moi, Marceline. Quand le maire annonce qu'il va raser l'impasse - nos maisons, nos mémoires, nos vies -, nous oublions le passé pour nous allier et nous battre. Tous les coups sont permis : nous n'avons plus rien à perdre, et c'est plus excitant qu'une sieste devant Motus". A travers le récit de leur combat et une plongée dans ses souvenirs, Marceline raconte une magnifique histoire d'amour, les secrets de toute une famille et la force des liens qui tissent une amitié.
Chère Marceline et cher Anatole,
J'ai fait votre connaissance un soir de semaine. Après une bonne douche, je me suis installée confortablement sous un plaid et commencée à découvrir votre histoire. Et quelle histoire ! Vous m'avez tout simplement coupé le souffle. Dès le premier mot, je pressentais que j'allais souffrir, avoir mal certes, mais de la plus belle des manières. Celle d'avoir rencontrée des personnages magnifiques, devoir leur dire adieu et surtout et malgré tout sortir de cette lecture avec le sourire jusqu'aux oreilles.
Je ne m'attendais pas à cette fin, à tourner la page avec cette multitude de sentiments. Je pressentais quelque chose depuis le début mais dans mon imagination elle était autrement. Je ne suis pas déçue, bien au contraire. Cette fin est belle. Qui ne rêverait pas de cela ? Après tant de promesses, tant de souvenirs, c'était absolument magnifique. Au point que ce sont de grosses larmes qui roulaient sur mes joues. J'ai été submergée par des sanglots et avec à la fois un grand sourire.
Marceline et Anatole votre histoire est magnifique. Oui, oui, vous n'avez pas finit de lire ce mot. Ensemble, vous êtes splendides. Vous m'avez fait sourire, rire, rêvé et pleuré. Franchement, je ne vous remercie pas pour mes yeux gonflés de panda. Oui, Marceline, je t'entends déjà me dire « Mamie t'emmerde ». Vous êtes les grands-parents que j'aurai aimé avoir, quitte à subir ton sarcasme Marceline, parce qu'au fond tout le monde sait que tu as un grand cœur.
J'ai aimé vous découvrir à l'âge de 80 ans. J'ai aimé remonter dans vos souvenirs : vous voir à 20 ans, pleins de rêves, de projets et de doutes... Vous voir traverser le temps, construire vos souvenirs les uns après après les autres, et toujours main dans la main, malgré les difficultés et le passage du temps, ça m'a mis du baume au cœur. Vous m'avez fait rêver à l'amour, au véritable amour. Celui qui nous donne envie de nous battre même si parfois l'envie de s'entretuer est présente (oui, on ne va pas se mentir non plus!). Celui qui vous fait déplacer les montagnes et repousser vos limites. Celui qui vous fait grandir.
Vous m'avez faite rire avec vos répliques et avec la bonne humeur mordante de mamie. Puis franchement, vous êtes des « Octogéniaux » au top. Vous m'avez émue, vivre mille et une émotions et fait danser mes souvenirs. Je vous en remercie.
Je vous oublierai pas,
Clara
J'ai décidé cette fois-ci d'écrire ma chronique en deux temps. Le premier, vous venez de le lire. J'avais besoin de parler aux deux personnages. Je retiens avant tout de cette histoire l'amour indescriptible qui va les unir tout le long de leur vie, ne faisant que se renforcer avec le temps.
Virginie Grimaldi parle de la vie en général, mais ici elle met en avant le tant redouté passage du temps d'où l'importance de nos souvenirs. Ils sont les vestiges de nos moments heureux et puis de l'autre côté c'est la seule chose que nous pouvons emporter (du moins, je l'espère!). Encore une fois, l'auteure aborde le sujet qui me tient à cœur : le temps qui passe, la vieillesse et le bout du chemin... Si vous avez lu ma chronique de Tu comprendras quand tu seras plus grande, (ici), vous n'êtes pas sans savoir que c'est une de mes plus grosses peurs. L'auteure l'aborde d'une manière qui raisonne en moi. Je me reconnais dans ses mots et ses personnages. À la lecture des remerciements, j'ai compris pourquoi cette thématique est courante dans ses romans. Je vous invite donc fortement à les lire. Je me suis sentie encore plus proche d'elle et de ses écrits. Et quel bel amour porté à ses grands-parents !
Ce roman parle aussi des liens intergénérationnels et familiaux. Les conflits de générations, d'une époque, l'évolution de la société avec ses changements de mœurs sont également abordés. J'ai aimé l'évolution des personnages face aux changements et aux bouleversements. Ils vont s'apprivoiser, s'unir et même se retrouver. J'ai adoré tous les personnages. Ils vont faire des erreurs, tomber, se relever et se pardonner. Tous ces mamies et papys, je me suis sentie bien avec eux, à les suivre dans leur combat, celui de leurs souvenirs. Ils nous offrent de bonnes parties de rigolades.
Quand nos souvenirs viendront danser m'a faite danser, vibrer et rêver. Virginie Grimaldi aborde la vie dans son entièreté, avec humour et avec une grande bonté, sans aucuns jugements. C'est ce que j'aime le plus dans son écriture ainsi que sa capacité à me faire passer du rire aux larmes. Un très beau et bon roman mené par une plume émouvante et sincère. Je continue avec plaisir la découverte de cette auteure.
J'ai fait votre connaissance un soir de semaine. Après une bonne douche, je me suis installée confortablement sous un plaid et commencée à découvrir votre histoire. Et quelle histoire ! Vous m'avez tout simplement coupé le souffle. Dès le premier mot, je pressentais que j'allais souffrir, avoir mal certes, mais de la plus belle des manières. Celle d'avoir rencontrée des personnages magnifiques, devoir leur dire adieu et surtout et malgré tout sortir de cette lecture avec le sourire jusqu'aux oreilles.
Je ne m'attendais pas à cette fin, à tourner la page avec cette multitude de sentiments. Je pressentais quelque chose depuis le début mais dans mon imagination elle était autrement. Je ne suis pas déçue, bien au contraire. Cette fin est belle. Qui ne rêverait pas de cela ? Après tant de promesses, tant de souvenirs, c'était absolument magnifique. Au point que ce sont de grosses larmes qui roulaient sur mes joues. J'ai été submergée par des sanglots et avec à la fois un grand sourire.
Marceline et Anatole votre histoire est magnifique. Oui, oui, vous n'avez pas finit de lire ce mot. Ensemble, vous êtes splendides. Vous m'avez fait sourire, rire, rêvé et pleuré. Franchement, je ne vous remercie pas pour mes yeux gonflés de panda. Oui, Marceline, je t'entends déjà me dire « Mamie t'emmerde ». Vous êtes les grands-parents que j'aurai aimé avoir, quitte à subir ton sarcasme Marceline, parce qu'au fond tout le monde sait que tu as un grand cœur.
J'ai aimé vous découvrir à l'âge de 80 ans. J'ai aimé remonter dans vos souvenirs : vous voir à 20 ans, pleins de rêves, de projets et de doutes... Vous voir traverser le temps, construire vos souvenirs les uns après après les autres, et toujours main dans la main, malgré les difficultés et le passage du temps, ça m'a mis du baume au cœur. Vous m'avez fait rêver à l'amour, au véritable amour. Celui qui nous donne envie de nous battre même si parfois l'envie de s'entretuer est présente (oui, on ne va pas se mentir non plus!). Celui qui vous fait déplacer les montagnes et repousser vos limites. Celui qui vous fait grandir.
Vous m'avez faite rire avec vos répliques et avec la bonne humeur mordante de mamie. Puis franchement, vous êtes des « Octogéniaux » au top. Vous m'avez émue, vivre mille et une émotions et fait danser mes souvenirs. Je vous en remercie.
Je vous oublierai pas,
Clara
J'ai décidé cette fois-ci d'écrire ma chronique en deux temps. Le premier, vous venez de le lire. J'avais besoin de parler aux deux personnages. Je retiens avant tout de cette histoire l'amour indescriptible qui va les unir tout le long de leur vie, ne faisant que se renforcer avec le temps.
Virginie Grimaldi parle de la vie en général, mais ici elle met en avant le tant redouté passage du temps d'où l'importance de nos souvenirs. Ils sont les vestiges de nos moments heureux et puis de l'autre côté c'est la seule chose que nous pouvons emporter (du moins, je l'espère!). Encore une fois, l'auteure aborde le sujet qui me tient à cœur : le temps qui passe, la vieillesse et le bout du chemin... Si vous avez lu ma chronique de Tu comprendras quand tu seras plus grande, (ici), vous n'êtes pas sans savoir que c'est une de mes plus grosses peurs. L'auteure l'aborde d'une manière qui raisonne en moi. Je me reconnais dans ses mots et ses personnages. À la lecture des remerciements, j'ai compris pourquoi cette thématique est courante dans ses romans. Je vous invite donc fortement à les lire. Je me suis sentie encore plus proche d'elle et de ses écrits. Et quel bel amour porté à ses grands-parents !
Ce roman parle aussi des liens intergénérationnels et familiaux. Les conflits de générations, d'une époque, l'évolution de la société avec ses changements de mœurs sont également abordés. J'ai aimé l'évolution des personnages face aux changements et aux bouleversements. Ils vont s'apprivoiser, s'unir et même se retrouver. J'ai adoré tous les personnages. Ils vont faire des erreurs, tomber, se relever et se pardonner. Tous ces mamies et papys, je me suis sentie bien avec eux, à les suivre dans leur combat, celui de leurs souvenirs. Ils nous offrent de bonnes parties de rigolades.
Quand nos souvenirs viendront danser m'a faite danser, vibrer et rêver. Virginie Grimaldi aborde la vie dans son entièreté, avec humour et avec une grande bonté, sans aucuns jugements. C'est ce que j'aime le plus dans son écriture ainsi que sa capacité à me faire passer du rire aux larmes. Un très beau et bon roman mené par une plume émouvante et sincère. Je continue avec plaisir la découverte de cette auteure.
Lecture commune avec Andréa