Editions : Le livre de poche
Genre : Contemporain
Date de publication : 23 / 08 / 17
Nombre de pages : 448
Genre : Contemporain
Date de publication : 23 / 08 / 17
Nombre de pages : 448
Ophélie, Arthur, Hugues et Alix viennent tous d’horizons différents. Leur seul point commun : ils rêvent de travailler chez Pyxis, entreprise spécialisée dans l’édition de mangas et de jeux vidéo, pilier dans le secteur de l’industrie créative.
Une réalité s’impose rapidement : beaucoup de candidats, peu d’élus. Désormais, le stage est devenu une étape obligatoire pour ces jeunes qui sont à la croisée des chemins dans leurs vies professionnelles et affectives.
Provinciale tout juste débarquée, Ophélie a laissé derrière elle petit ami et logement, et doit faire face aux difficultés de la vie parisienne.
Étudiant en école de commerce, Arthur est tiraillé entre les grands projets qu’on a pour lui et son envie de mettre la finance entre parenthèses. À leurs côtés, Alix, passionnée de mangas, ne jure que par ses sagas favorites, et Hugues, graphiste, teste ses limites dans les soirées électro...
Dans une atmosphère conviviale, travail et vie privée s’entremêlent.
Pourtant, une question demeure en fond sonore : qui restera ?
Quand la "génération Y" entre en collision avec le monde du travail : un récit marquant dans lequel beaucoup de jeunes adultes se reconnaîtront.
Une réalité s’impose rapidement : beaucoup de candidats, peu d’élus. Désormais, le stage est devenu une étape obligatoire pour ces jeunes qui sont à la croisée des chemins dans leurs vies professionnelles et affectives.
Provinciale tout juste débarquée, Ophélie a laissé derrière elle petit ami et logement, et doit faire face aux difficultés de la vie parisienne.
Étudiant en école de commerce, Arthur est tiraillé entre les grands projets qu’on a pour lui et son envie de mettre la finance entre parenthèses. À leurs côtés, Alix, passionnée de mangas, ne jure que par ses sagas favorites, et Hugues, graphiste, teste ses limites dans les soirées électro...
Dans une atmosphère conviviale, travail et vie privée s’entremêlent.
Pourtant, une question demeure en fond sonore : qui restera ?
Quand la "génération Y" entre en collision avec le monde du travail : un récit marquant dans lequel beaucoup de jeunes adultes se reconnaîtront.
Les stagiaires, le titre raisonne particulièrement en moi en ce moment puisque je suis actuellement en train de terminer mon stage de fin d'études. À la lecture du résumé, je ne pouvais que me sentir concernée.
Prologue, premier chapitre, j'avais la sensation d'être revenue en octobre dernier pendant ma recherche de stage. Écrire son cv et sa lettre de motivation, éplucher les annonces, envoyer, recevoir refus ou rien, jusqu'à un appel, un entretien, l'attente de quelques jours jusqu'à... Appel et hop la joie de découvrir qu'on est pris dans une superbe entreprise qui sera un véritable plus pour notre CV.
Tout le long de la lecture, nous allons suivre les points de vue d'Ophélie et d'Arthur. Nous allons les suivre dans leur premier jour de stage, dans la vie quotidienne au sein d'une maison d'édition, les hauts et les bas, les doutes, les peurs, les remise en question sur son avenir et sur le plus dur, la recherche d'emploi à la fin du stage. Je me suis reconnue dans les différentes situations et notamment dans le personnage d'Ophélie. La jeune provinciale, peu sûre d'elle qui décide de tout plaquer pour conquérir la capitale. J'ai retrouvé mes doutes et mes peurs dans son personnage. Tout donner afin de se faire remarquer. Je me suis sentie proche d'elle, bien plus que le personnage d'Arthur.
Arthur est l'archétype du fils à maman, bourgeois, vivant dans le 1er arrondissement de Paris, élève d'une grande école de commerce (payé au frais de maman, bien évidemment), pas de problème d'argent, dans la vie tout lui souris, il est sûr de trouver un travail et de vivre confortablement sa vie. Mais ce cher Arthur est aussi l'archétype du mec riche et beau gosse, en couple avec une fille à papa, promis à finir leur vie ensemble, car dans ce monde là, la seule chose qui compte c'est de faire un mariage « réussi ». Son stage est pixis est une sorte de récréation, une parenthèse, avant de retrouver le « vrai monde » entouré de personnes ayant un vrai travail et non celui « d'artiste ». Arthur enchaîne les infidélités, les conneries, défiant un peu sa mère, dirigeante de sa vie.
Je n'ai absolument pas accroché à son personnage, tout d'abord, à cause de ses manières. Il n'a pas l'habitude que quelque chose lui soit refusé. Il est capricieux et fait tout pour obtenir ce qu'il désire. Il ne pense qu'à lui et son égo se souciant peu du mal qui peut faire autour de lui. Alors, certes, on voit une légère évolution. Arthur prend conscience de son attitude mais... je ne vous en dis pas plus ! C'est ce « mais » qui m'a dérangé et qui fait qu'à la fin, je n'étais pas plus attachée à son personnage qu'au début de l'histoire. Ce « mais » signifie qu'il manque un truc. J'espère sincérement que cela changera par la suite de l'histoire et dans une direction qui je l'espère ne sera pas trop prévisible.
Autour d'eux gravitent d'autres personnages : Hugues, le hipster, qui m'a beaucoup plu par sa sensibilité et son attention ; Alix, la jeune femme grunge, amoureuse des mangas et de la fiction ; Vincent, le stagiaire ayant peu confiance en lui et Enissa, avec un manque total de confiance en elle et qui se caractérise tout le long par l'envie de se faire remarquer par la gente masculine et par sa vulgarité. Enfin, les boss, leurs tuteurs. Au travers d'eux, nous avons toute une palette de personnes qui évoluent dans le milieu professionnel. Certains sont plus stéréotypés que d'autres, mais je pense que cela est voulu par l'auteure. On rigole de certaines situations, on se reconnaît d'en d'autres et j'ai pu retrouver des traits de caractères familiers à des personnes de mon stage. Ce qui m'a fait beaucoup rire !
Les stagiaires se lit très rapidement, l'écriture est fluide et on se laisser aller dans le quotidien des personnages, de cette bande de stagiaires aux personnalités différentes. Ce qui est cependant dommage, c'est que l'histoire reste assez prévisible. Et une tournure du récit m'a fait lever les yeux au ciel, c'était couru d'avance. Et si ça été entre autres « positif » pour un personnage, l'autre n'a pas avancé d'un iota... J'ai trouvé les personnages et/ou leur relation assez clichés et stéréotypés, bien que ça ne m'a pas empêché de m'attacher à la plupart d'entre eux...
En conclusion, c'est un récit dans lequel je me suis reconnue au travers des diverses situations professionnelles misent en scène. Samantha Bailly critique les pratiques de la société vis-à-vis des stagiaires et de la difficulté à rechercher un emploi. C'est très intéressant et ne peut nous laisser indifférent. Le roman est porté par une plume légère et rafraichissante. On se laisse emporter sans aucune difficultés par le récit. J'ai beaucoup ri et souri durant ma lecture. J'ai passé un bon moment avec ces personnages différents. Je compte bien continuer à suivre les aventures d'Ophélie.
Prologue, premier chapitre, j'avais la sensation d'être revenue en octobre dernier pendant ma recherche de stage. Écrire son cv et sa lettre de motivation, éplucher les annonces, envoyer, recevoir refus ou rien, jusqu'à un appel, un entretien, l'attente de quelques jours jusqu'à... Appel et hop la joie de découvrir qu'on est pris dans une superbe entreprise qui sera un véritable plus pour notre CV.
Tout le long de la lecture, nous allons suivre les points de vue d'Ophélie et d'Arthur. Nous allons les suivre dans leur premier jour de stage, dans la vie quotidienne au sein d'une maison d'édition, les hauts et les bas, les doutes, les peurs, les remise en question sur son avenir et sur le plus dur, la recherche d'emploi à la fin du stage. Je me suis reconnue dans les différentes situations et notamment dans le personnage d'Ophélie. La jeune provinciale, peu sûre d'elle qui décide de tout plaquer pour conquérir la capitale. J'ai retrouvé mes doutes et mes peurs dans son personnage. Tout donner afin de se faire remarquer. Je me suis sentie proche d'elle, bien plus que le personnage d'Arthur.
Arthur est l'archétype du fils à maman, bourgeois, vivant dans le 1er arrondissement de Paris, élève d'une grande école de commerce (payé au frais de maman, bien évidemment), pas de problème d'argent, dans la vie tout lui souris, il est sûr de trouver un travail et de vivre confortablement sa vie. Mais ce cher Arthur est aussi l'archétype du mec riche et beau gosse, en couple avec une fille à papa, promis à finir leur vie ensemble, car dans ce monde là, la seule chose qui compte c'est de faire un mariage « réussi ». Son stage est pixis est une sorte de récréation, une parenthèse, avant de retrouver le « vrai monde » entouré de personnes ayant un vrai travail et non celui « d'artiste ». Arthur enchaîne les infidélités, les conneries, défiant un peu sa mère, dirigeante de sa vie.
Je n'ai absolument pas accroché à son personnage, tout d'abord, à cause de ses manières. Il n'a pas l'habitude que quelque chose lui soit refusé. Il est capricieux et fait tout pour obtenir ce qu'il désire. Il ne pense qu'à lui et son égo se souciant peu du mal qui peut faire autour de lui. Alors, certes, on voit une légère évolution. Arthur prend conscience de son attitude mais... je ne vous en dis pas plus ! C'est ce « mais » qui m'a dérangé et qui fait qu'à la fin, je n'étais pas plus attachée à son personnage qu'au début de l'histoire. Ce « mais » signifie qu'il manque un truc. J'espère sincérement que cela changera par la suite de l'histoire et dans une direction qui je l'espère ne sera pas trop prévisible.
Autour d'eux gravitent d'autres personnages : Hugues, le hipster, qui m'a beaucoup plu par sa sensibilité et son attention ; Alix, la jeune femme grunge, amoureuse des mangas et de la fiction ; Vincent, le stagiaire ayant peu confiance en lui et Enissa, avec un manque total de confiance en elle et qui se caractérise tout le long par l'envie de se faire remarquer par la gente masculine et par sa vulgarité. Enfin, les boss, leurs tuteurs. Au travers d'eux, nous avons toute une palette de personnes qui évoluent dans le milieu professionnel. Certains sont plus stéréotypés que d'autres, mais je pense que cela est voulu par l'auteure. On rigole de certaines situations, on se reconnaît d'en d'autres et j'ai pu retrouver des traits de caractères familiers à des personnes de mon stage. Ce qui m'a fait beaucoup rire !
Les stagiaires se lit très rapidement, l'écriture est fluide et on se laisser aller dans le quotidien des personnages, de cette bande de stagiaires aux personnalités différentes. Ce qui est cependant dommage, c'est que l'histoire reste assez prévisible. Et une tournure du récit m'a fait lever les yeux au ciel, c'était couru d'avance. Et si ça été entre autres « positif » pour un personnage, l'autre n'a pas avancé d'un iota... J'ai trouvé les personnages et/ou leur relation assez clichés et stéréotypés, bien que ça ne m'a pas empêché de m'attacher à la plupart d'entre eux...
En conclusion, c'est un récit dans lequel je me suis reconnue au travers des diverses situations professionnelles misent en scène. Samantha Bailly critique les pratiques de la société vis-à-vis des stagiaires et de la difficulté à rechercher un emploi. C'est très intéressant et ne peut nous laisser indifférent. Le roman est porté par une plume légère et rafraichissante. On se laisse emporter sans aucune difficultés par le récit. J'ai beaucoup ri et souri durant ma lecture. J'ai passé un bon moment avec ces personnages différents. Je compte bien continuer à suivre les aventures d'Ophélie.
Une lecture agréable !
Lecture commune avec Le ciel est partout !
Son avis
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