Editions : Pocket
Genre : Contemporain
Date de publication : Mai 2014
Nombre de pages : 187
Genre : Contemporain
Date de publication : Mai 2014
Nombre de pages : 187
« Ils étaient partis en chahutant dans l’escalier. […] J’avais appris qu’ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m’étais dit qu’ils étaient morts en riant. Je m’étais dit que j’aurais voulu être avec eux. »
Diane perd brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l’exception de son cœur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l’existence. C’est peut-être en foulant la terre d’Irlande, où elle s’exile, qu’elle apercevra la lumière au bout du tunnel.
Diane perd brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l’exception de son cœur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l’existence. C’est peut-être en foulant la terre d’Irlande, où elle s’exile, qu’elle apercevra la lumière au bout du tunnel.
Cet été, j'ai découvert l'auteure avec son roman Entre mes mains le bonheur se faufile. J'ai adoré ce récit et la plume de l'auteure m'a séduite. Après plusieurs recommandations de la part de ma copinette Mathilde, je me suis procurée Les gens heureux lisent et boivent du café, sélectionné pour notre Challenge Lectures au fil des saisons.
Dès la première page, Agnès Martin-Lugand ne ménage pas nos sentiments. On est directement plongé dans le drame qu'a touché Diane. Un an après cette tragédie, Diane sombre de plus en plus vers la dépression. Elle entretient des liens conflictuels avec sa famille et le seul qu'elle tolère est son meilleur ami Félix. D'ailleurs, le peu que nous voyons ses parents m'ont suffit. Je passerai de dire mon avis sur eux. Avec force de persuasion et surtout pour se débarrasser de son meilleur ami collant, Diane décide de s'exiler en Irlande, seule et commencer une nouvelle vie.
Nous voilà envoyé dans un petit village d'Irlande, typique où la chaleur des gens du pays et le folklore sont bien représentés. J'avais envie d'aller m'amuser dans le sable, voir la mer se déchaîner, me réchauffer au coin de feu de cheminée et connaître toutes les belles personnes que va rencontrer Diane. Durant les quelques pages que durent le roman, je me suis trouvée projetée au coeur de l'Irlande aux côtés de Diane.
Agnès Martin-Lugand aborde la thématique du deuil qui n'est pas un sujet des plus facile. Diane doit se reconstruire, réapprendre à vivre et à être heureuse. J'ai aimé l'évolution de son personnage, la voir passer les étapes d'une deuil l'une après l'autre et à essayer d'aller de l'avant même si ce n'est pas toujours évident. Je me suis beaucoup attachée à son personnage. J'ai eu de l'empathie et n'ai pu retenir mes larmes à certains moments notamment un moment qui a été très fort et qui m'a vraiment bouleversé durant ma lecture.
Autour de ce petit bout de femme, d'autres personnages gravitent : Félix, Abby, Jack, Judith et même Edward. Mes sentiments envers Edward ont été contradictoires. Au premier coup d'oeil, j'ai eu le même sentiment que Diane : "Quel connard celui-là". Mais à la fin mon côté romantique a pris le dessus. Toutefois, je comprends le dénouement du récit. La vie n'est malheureusement pas facile, tout ne peut pas se faire à un claquement de doigt surtout en ce qui concerne le deuil. Diane a besoin de temps et cela la rend encore plus touchante.
En conclusion, Agnès Martin-Lugand nous offre ici une histoire forte et poignante. Elle a su me tirer des larmes et me toucher avec son récit. Je lirai la suite avec un grand plaisir, dans les jours à venir. Je veux savoir le dénouement, Diane mérite son happy-ending.
Dès la première page, Agnès Martin-Lugand ne ménage pas nos sentiments. On est directement plongé dans le drame qu'a touché Diane. Un an après cette tragédie, Diane sombre de plus en plus vers la dépression. Elle entretient des liens conflictuels avec sa famille et le seul qu'elle tolère est son meilleur ami Félix. D'ailleurs, le peu que nous voyons ses parents m'ont suffit. Je passerai de dire mon avis sur eux. Avec force de persuasion et surtout pour se débarrasser de son meilleur ami collant, Diane décide de s'exiler en Irlande, seule et commencer une nouvelle vie.
Nous voilà envoyé dans un petit village d'Irlande, typique où la chaleur des gens du pays et le folklore sont bien représentés. J'avais envie d'aller m'amuser dans le sable, voir la mer se déchaîner, me réchauffer au coin de feu de cheminée et connaître toutes les belles personnes que va rencontrer Diane. Durant les quelques pages que durent le roman, je me suis trouvée projetée au coeur de l'Irlande aux côtés de Diane.
Agnès Martin-Lugand aborde la thématique du deuil qui n'est pas un sujet des plus facile. Diane doit se reconstruire, réapprendre à vivre et à être heureuse. J'ai aimé l'évolution de son personnage, la voir passer les étapes d'une deuil l'une après l'autre et à essayer d'aller de l'avant même si ce n'est pas toujours évident. Je me suis beaucoup attachée à son personnage. J'ai eu de l'empathie et n'ai pu retenir mes larmes à certains moments notamment un moment qui a été très fort et qui m'a vraiment bouleversé durant ma lecture.
Autour de ce petit bout de femme, d'autres personnages gravitent : Félix, Abby, Jack, Judith et même Edward. Mes sentiments envers Edward ont été contradictoires. Au premier coup d'oeil, j'ai eu le même sentiment que Diane : "Quel connard celui-là". Mais à la fin mon côté romantique a pris le dessus. Toutefois, je comprends le dénouement du récit. La vie n'est malheureusement pas facile, tout ne peut pas se faire à un claquement de doigt surtout en ce qui concerne le deuil. Diane a besoin de temps et cela la rend encore plus touchante.
En conclusion, Agnès Martin-Lugand nous offre ici une histoire forte et poignante. Elle a su me tirer des larmes et me toucher avec son récit. Je lirai la suite avec un grand plaisir, dans les jours à venir. Je veux savoir le dénouement, Diane mérite son happy-ending.
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