Editions : l'Archipel
Genre : Thriller
Date de publication : 15 mars 2017
Nombre de pages : 311
Adolescent, Leo Nader était en proie à de terribles crises de somnambulisme. Si intenses, qu’on l’avait contraint à suivre un traitement psychiatrique auprès d’un spécialiste, le Dr Volwarth.
Bien des années plus tard, Leo se croit guéri. Mais, un matin, il découvre que sa femme Nathalie a été blessée pendant la nuit et qu’elle s’apprête à le quitter.
Quand il essaie de la rattraper, elle s’enfuit avant de mystérieusement disparaître. Perturbé, Leo, qui se croit coupable sans en avoir conservé le moindre souvenir, décide de retourner voir le Dr Volwarth.
Celui-ci lui conseille de s’équiper d’une petite caméra pour enregistrer ses déplacements nocturnes. Ce qu’il va découvrir ira bien au-delà de tout ce qu’il pouvait imaginer…
Bien des années plus tard, Leo se croit guéri. Mais, un matin, il découvre que sa femme Nathalie a été blessée pendant la nuit et qu’elle s’apprête à le quitter.
Quand il essaie de la rattraper, elle s’enfuit avant de mystérieusement disparaître. Perturbé, Leo, qui se croit coupable sans en avoir conservé le moindre souvenir, décide de retourner voir le Dr Volwarth.
Celui-ci lui conseille de s’équiper d’une petite caméra pour enregistrer ses déplacements nocturnes. Ce qu’il va découvrir ira bien au-delà de tout ce qu’il pouvait imaginer…
Le Somnambule, un titre frappant, un résumé accrocheur, un auteur que je ne connais pas, parfait ! J’aime les thrillers et j’aime découvrir de nouveaux auteurs et univers de ce genre littéraire. Je tiens à remercier les éditions l’Archipel et LP Conseils, grâce à eux j’ai passé un très bon moment de lecture !
Sebastian Fitzek n’épargne pas son lecteur puisqu’il nous fait rentrer directement dans son intrigue avec un prologue surprenant et mystérieux. Il m’a tout de suite mise en condition : suspense, mystère, la casquette « de l’enquêteur » pour tenter de démêler le nœud de l’histoire. J’étais prête, lancée pour découvrir cette histoire trépidante et haletante.
L’auteur nous offre un thriller psychologique, angoissant et excitant. J’étais montée sur ressort par l’adrénaline, aux aguets aux moindres bruits dans ma maison et les poils qui s’hérissaient dans les moments où l’atmosphère pesante était à son comble. Oui, ce roman m’a foutu la frousse. Non pas par ses scènes, bien que certaines étaient gores concernant Nathalie mais surtout l’atmosphère du récit. Une atmosphère sombre, lourde est présente tout le long du roman. J’étais stressée et une certaine angoisse est venue se loger au fond de moi. Si vous êtes un peu sensible à ne pas lire le soir ou la nuit surtout avec le sujet abordé.
A la lecture du roman, je ne savais plus qui/quoi croire : Léo réveillé, Léo somnambule ? Je ne savais plus à quel moment il était lui-même, à quel moment il était dans un « rêve » et quand il était dans la réalité. Tout ce jeu associé à l’ambiance du roman a créé une adrénaline en moi. J’étais piquée, je voulais continuer à lire pour savoir où se trouvait la vérité. J’ai adoré toutes les sensations que l’auteur a réussi à me provoquer grâce à son univers.
Je n’arrivais pas à croire que Léo pouvait être coupable de tels actes. Dès le début, j’ai senti comme une sorte d’attachement de ce personnage victime de son somnambulisme. Il ne me paraissait pas foncièrement mauvais. Je me suis faite de nombreuses hypothèses, la dernière s’est avérée être en partie bonne. Mais, l’auteur en a décidé autrement. Et là, il y a une retombée des sensations ! J’ai été en haleine tout le long du roman et plus la fin s’approchait, plus j’avais envie de découvrir la révélation. A ce moment-là ça a été la douche froide, la chute libre… Une seule partie de la résolution finale m’a plu, l’autre j’ai été un poil déçue… Une impression de déjà vue, que ça ne collait pas avec l’intrigue… Je ne sais pas, je m’attendais à quelque chose d’explosif et je n’ai pas trouvé cette explosion. Est-ce que parce que les explications m’ont paru confuse ? Bref, si quelqu’un veut bien m’éclairer je suis preneuse !
En conclusion, malgré la résolution de l’intrigue qui n’a pas su me convaincre à 100 %, le roman est une très bonne découverte. J’ai adoré les sensations, les sentiments que m’a procuré l’auteur. La construction de l’intrigue m’a beaucoup plu, on est perdu comme Léo. Tout le long de notre lecture la recherche de la vérité nous pousse à dévorer le roman littéralement. Un auteur que je ne connaissais pas mais que je lirai à nouveau avec plaisir.
Sebastian Fitzek n’épargne pas son lecteur puisqu’il nous fait rentrer directement dans son intrigue avec un prologue surprenant et mystérieux. Il m’a tout de suite mise en condition : suspense, mystère, la casquette « de l’enquêteur » pour tenter de démêler le nœud de l’histoire. J’étais prête, lancée pour découvrir cette histoire trépidante et haletante.
L’auteur nous offre un thriller psychologique, angoissant et excitant. J’étais montée sur ressort par l’adrénaline, aux aguets aux moindres bruits dans ma maison et les poils qui s’hérissaient dans les moments où l’atmosphère pesante était à son comble. Oui, ce roman m’a foutu la frousse. Non pas par ses scènes, bien que certaines étaient gores concernant Nathalie mais surtout l’atmosphère du récit. Une atmosphère sombre, lourde est présente tout le long du roman. J’étais stressée et une certaine angoisse est venue se loger au fond de moi. Si vous êtes un peu sensible à ne pas lire le soir ou la nuit surtout avec le sujet abordé.
A la lecture du roman, je ne savais plus qui/quoi croire : Léo réveillé, Léo somnambule ? Je ne savais plus à quel moment il était lui-même, à quel moment il était dans un « rêve » et quand il était dans la réalité. Tout ce jeu associé à l’ambiance du roman a créé une adrénaline en moi. J’étais piquée, je voulais continuer à lire pour savoir où se trouvait la vérité. J’ai adoré toutes les sensations que l’auteur a réussi à me provoquer grâce à son univers.
Je n’arrivais pas à croire que Léo pouvait être coupable de tels actes. Dès le début, j’ai senti comme une sorte d’attachement de ce personnage victime de son somnambulisme. Il ne me paraissait pas foncièrement mauvais. Je me suis faite de nombreuses hypothèses, la dernière s’est avérée être en partie bonne. Mais, l’auteur en a décidé autrement. Et là, il y a une retombée des sensations ! J’ai été en haleine tout le long du roman et plus la fin s’approchait, plus j’avais envie de découvrir la révélation. A ce moment-là ça a été la douche froide, la chute libre… Une seule partie de la résolution finale m’a plu, l’autre j’ai été un poil déçue… Une impression de déjà vue, que ça ne collait pas avec l’intrigue… Je ne sais pas, je m’attendais à quelque chose d’explosif et je n’ai pas trouvé cette explosion. Est-ce que parce que les explications m’ont paru confuse ? Bref, si quelqu’un veut bien m’éclairer je suis preneuse !
En conclusion, malgré la résolution de l’intrigue qui n’a pas su me convaincre à 100 %, le roman est une très bonne découverte. J’ai adoré les sensations, les sentiments que m’a procuré l’auteur. La construction de l’intrigue m’a beaucoup plu, on est perdu comme Léo. Tout le long de notre lecture la recherche de la vérité nous pousse à dévorer le roman littéralement. Un auteur que je ne connaissais pas mais que je lirai à nouveau avec plaisir.
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