
Editions : City Editions
Genre : Contemporain
Date de publication : septembre 2016
Nombre de pages : 217
Un père inconnu, une mère en prison : la vie de Ranko, treize ans, ressemble à un mélodrame. Décidant un jour de prendre son destin en main, il fugue de la DDASS de Paris, avec un seul objectif : rejoindre l'île de la Réunion où il croit que son père exerce le fascinant métier de... pirate ! L'argent pour le voyage ? Ranko a un plan d'enfer : il suffit de braquer des petits vieux. Donc, un beau matin, en planque devant une banque, il voit arriver une Cadillac rose bonbon. Un homme en descend : c'est Jo, 70 ans bien sonnés, perfecto rouge, santiags, banane à la rocker... Ranko le dévalise et s'apprête à filer, mais quelque chose le retient. Un lien invisible entre eux ? C'est le début d'une belle aventure, folle, loufoque et endiablée, qui va changer leur vie à tous les deux.
Je tiens tout d’abord à remercier City Editions et Lp conseils pour l’envoi de ce service presse.
Ranko est un adolescent de 13 ans qui vit à la DDASS. Marre de sa situation il décide de fuguer et de rejoindre son père à l’île de la Réunion où il exerce le métier de pirate. Ranko est intelligent et il a un plan. Un plan du tonnerre : « ben quoi braquer les petits vieux qui sortent de la banque n’est pas un plan génial ? ». Ce petit bonhomme était loin de s’imaginer sa rencontre avec Jo, un papi rock’n’roll et musicien de renom. Un lien invisible, une rencontre magique qui changeront leur destin à jamais.
Ma lecture fut très satisfaisante et plaisante. Je ressors convaincu par les personnages et par le message d’Alice Quinn. L’auteure a choisi un type de langage adapté à ses deux personnages loufoques. Le style « banlieusard » colle parfaitement à Ranko. Jeune adolescent abandonné, qui ne se préoccupe pas des cours, qui n’a pas la culture et l’instruction qui lui convient dans un cadre adapté. C’est tout à fait normal qui n’est pas un langage courant. Puis c’est un « dur », « un bad boy », un « vrai petit bandit » et oui il faut les impressionner les filles ! Puis Jo a toujours apprécié plus sa musique que les bancs de l’école. C’est représentatif de cette époque qui devait travailler et non étudier. Le langage colle aux personnalités, c’était top ! J’ai trouvé que ça rajoutait également de la légèreté et de la fraîcheur au texte.
Notre petit héros fugueur m’a beaucoup touché. Cet adolescent à la fois en colère, révolté, au « cœur dur » mais aussi rêveur et généreux. Il a des rêves d’enfants, de voyages et d’aventures. Il n’a pas l’occasion de rêver, de s’amuser. Il faut qu’il se découvre, qu’il grandisse et qu’il apprenne à pardonner. Tout le long du roman, Ranko va apprendre et comprendre certaines choses de son passé, de sa situation actuelle notamment grâce à Jo et à sa petite-fille Victoria. Il va découvrir l’amour, la tristesse, la peur, l’espoir et le bonheur.
Jo et Victoria sont deux personnages centraux du récit. Tous les trois vont vivre une folle aventure intense en émotions et en suspense. J’ai aimé ces deux également. Victoria m’a fait rire avec ses manières et Jo est juste un grand-père génial ! Je veux le même !
En conclusion, Le garçon qui rêvait de voler en Cadillac est une lecture fraîche, légère et détente mais qui malgré cette légèreté laisse passer un message d’espoir et d’amour. Ranko est un petit dur à cuire qui nous ému avec cette innocence qui se mêle à la dure réalité de la vie.
Ranko est un adolescent de 13 ans qui vit à la DDASS. Marre de sa situation il décide de fuguer et de rejoindre son père à l’île de la Réunion où il exerce le métier de pirate. Ranko est intelligent et il a un plan. Un plan du tonnerre : « ben quoi braquer les petits vieux qui sortent de la banque n’est pas un plan génial ? ». Ce petit bonhomme était loin de s’imaginer sa rencontre avec Jo, un papi rock’n’roll et musicien de renom. Un lien invisible, une rencontre magique qui changeront leur destin à jamais.
Ma lecture fut très satisfaisante et plaisante. Je ressors convaincu par les personnages et par le message d’Alice Quinn. L’auteure a choisi un type de langage adapté à ses deux personnages loufoques. Le style « banlieusard » colle parfaitement à Ranko. Jeune adolescent abandonné, qui ne se préoccupe pas des cours, qui n’a pas la culture et l’instruction qui lui convient dans un cadre adapté. C’est tout à fait normal qui n’est pas un langage courant. Puis c’est un « dur », « un bad boy », un « vrai petit bandit » et oui il faut les impressionner les filles ! Puis Jo a toujours apprécié plus sa musique que les bancs de l’école. C’est représentatif de cette époque qui devait travailler et non étudier. Le langage colle aux personnalités, c’était top ! J’ai trouvé que ça rajoutait également de la légèreté et de la fraîcheur au texte.
Notre petit héros fugueur m’a beaucoup touché. Cet adolescent à la fois en colère, révolté, au « cœur dur » mais aussi rêveur et généreux. Il a des rêves d’enfants, de voyages et d’aventures. Il n’a pas l’occasion de rêver, de s’amuser. Il faut qu’il se découvre, qu’il grandisse et qu’il apprenne à pardonner. Tout le long du roman, Ranko va apprendre et comprendre certaines choses de son passé, de sa situation actuelle notamment grâce à Jo et à sa petite-fille Victoria. Il va découvrir l’amour, la tristesse, la peur, l’espoir et le bonheur.
Jo et Victoria sont deux personnages centraux du récit. Tous les trois vont vivre une folle aventure intense en émotions et en suspense. J’ai aimé ces deux également. Victoria m’a fait rire avec ses manières et Jo est juste un grand-père génial ! Je veux le même !
En conclusion, Le garçon qui rêvait de voler en Cadillac est une lecture fraîche, légère et détente mais qui malgré cette légèreté laisse passer un message d’espoir et d’amour. Ranko est un petit dur à cuire qui nous ému avec cette innocence qui se mêle à la dure réalité de la vie.
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