Éditions : L'Archipel
Genre : Thriller
Date de publication : 06 / 03 / 19
Nombre de pages : 308
Genre : Thriller
Date de publication : 06 / 03 / 19
Nombre de pages : 308
Psychiatre, Emma Stein a été victime d’une agression nocturne dont elle s’est miraculeusement sortie. Depuis, elle vit recluse dans sa maison, de peur de croiser à nouveau la route de ce psychopathe que la presse a surnommé le Coiffeur.
Un jour, son facteur lui demande d’accepter un colis pour l’un de ses voisins. Emma connaît tous ceux qui habitent dans sa rue.
Or, jamais elle n’a entendu parler de cet homme…
Un jour, son facteur lui demande d’accepter un colis pour l’un de ses voisins. Emma connaît tous ceux qui habitent dans sa rue.
Or, jamais elle n’a entendu parler de cet homme…
Je remercie l'agence LP Conseils ainsi que les Éditions l'Archipel pour l'envoi du nouveau thriller de Sebastian Fitzek.
Depuis ma découverte de l'auteur il y a maintenant trois ans, j'attends chaque année avec impatience la sortie de son nouveau roman. Je l'ai découvert avec Le somnambule et par la suite avec Passager 23 que j'ai absolument adoré. Quand j'ai ouvert le colis, (j'ai osé l'Archipel!), il contenait, avec le roman, un mot de l'auteur. Ce dernier m'a totalement mis l'eau à la bouche. Le colis promettait d'être angoissant. Donc aussitôt reçu, aussitôt lu.
Nous avons ici du grand Fitzek ! Un suspense haletant et vraiment angoissant. C'est le cas de le dire. J'étais totalement angoissée du début à la fin. J'ai eu la bonne idée de le commencer vers 23h et ben, j'ai eu du mal à m'endormir la première nuit. Dès la première page, l'angoisse nous prend à la gorge et au fil des chapitres, elle se resserre comme un étau. C'est fou le talent qu'à l'auteur pour nous filer les jetons et faire monter la tension crescendo. Plus on approche de la fin, plus on a le cœur qui palpite, les mains moites et jusqu'à la dernière minute on se demande où va nous mener cette histoire.
C'est vrai qu'en commençant le début de l'histoire, je ne voyais pas du tout la direction que le récit allait prendre. J'avais du mal à discerner le vrai du faux. Emma, la psychiatre, était-elle en train de sombrer dans la folie ou est-ce qu'elle disait la vérité ? À quel point pouvait-elle avoir confiance à son entourage ? À quel point pouvait-elle se faire confiance ? Est-ce qu'elle avait des hallucinations ? Est-ce un nouveau coup du Coiffeur ? Jusqu'à la dernière page, l'auteur va jouer avec nos certitudes et carrément nos nerfs. Toutes nos hypothèses partent en fumée et l'auteur sait très bien se servir de son atmosphère angoissante et de sa tension pour captiver son lectorat. Les chapitres courts se prêtent parfaitement au genre du récit. Ils nous poussent à avancer notre lecture encore plus vite. « Allez encore un chapitre après j'arrête, oh et puis encore un autre... », ça et avec l'angoisse, on a envie de savoir, le roman se lit très rapidement.
Jusqu'à la dernière page on doute de la résolution du récit. Et cette résolution m'a un peu déçue... Dans les deux autres romans de l'auteur, il y a la même sorte de tension et d'angoisse. L'atmosphère est pesante et parfois anxiogène. Et cette tension augmente, augmente, jusqu'à arriver à une fin hyper explosive avec des révélations dingues. Or, dans celui-ci, j'ai trouvé que ça retombait comme un soufflet et c'est vraiment dommage. Je n'ai pas trouvé la fin explosive, au contraire j'ai l'impression d'avoir fait une grosse chute et au lieu d’atterrir dans un coup de tonnerre, j'ai juste atterri les fesses par terre, sans rien amortir. La tension monte, monte, monte et d'un coup « bam ». Pas de « BOOM », juste un « bam ». Mouais, Fitzek tu m'as habituée à beaucoup mieux.
En conclusion, la tension est palpable de la première et la dernière page. J'ai trouvé ce roman anxiogène par moment et très, très angoissant. Fitzek joue avec son lecteur et l'atmosphère du récit, ce qui fait qu'on est poussé dans notre lecture. Les chapitres se dévorent jusqu'à la dernière page. Cependant, j'aurais aimé une autre fin, une fin beaucoup plus explosive. J'ai hâte de découvrir son prochain ! À l'année prochaine Sebastian Fitzek ?
Depuis ma découverte de l'auteur il y a maintenant trois ans, j'attends chaque année avec impatience la sortie de son nouveau roman. Je l'ai découvert avec Le somnambule et par la suite avec Passager 23 que j'ai absolument adoré. Quand j'ai ouvert le colis, (j'ai osé l'Archipel!), il contenait, avec le roman, un mot de l'auteur. Ce dernier m'a totalement mis l'eau à la bouche. Le colis promettait d'être angoissant. Donc aussitôt reçu, aussitôt lu.
Nous avons ici du grand Fitzek ! Un suspense haletant et vraiment angoissant. C'est le cas de le dire. J'étais totalement angoissée du début à la fin. J'ai eu la bonne idée de le commencer vers 23h et ben, j'ai eu du mal à m'endormir la première nuit. Dès la première page, l'angoisse nous prend à la gorge et au fil des chapitres, elle se resserre comme un étau. C'est fou le talent qu'à l'auteur pour nous filer les jetons et faire monter la tension crescendo. Plus on approche de la fin, plus on a le cœur qui palpite, les mains moites et jusqu'à la dernière minute on se demande où va nous mener cette histoire.
C'est vrai qu'en commençant le début de l'histoire, je ne voyais pas du tout la direction que le récit allait prendre. J'avais du mal à discerner le vrai du faux. Emma, la psychiatre, était-elle en train de sombrer dans la folie ou est-ce qu'elle disait la vérité ? À quel point pouvait-elle avoir confiance à son entourage ? À quel point pouvait-elle se faire confiance ? Est-ce qu'elle avait des hallucinations ? Est-ce un nouveau coup du Coiffeur ? Jusqu'à la dernière page, l'auteur va jouer avec nos certitudes et carrément nos nerfs. Toutes nos hypothèses partent en fumée et l'auteur sait très bien se servir de son atmosphère angoissante et de sa tension pour captiver son lectorat. Les chapitres courts se prêtent parfaitement au genre du récit. Ils nous poussent à avancer notre lecture encore plus vite. « Allez encore un chapitre après j'arrête, oh et puis encore un autre... », ça et avec l'angoisse, on a envie de savoir, le roman se lit très rapidement.
Jusqu'à la dernière page on doute de la résolution du récit. Et cette résolution m'a un peu déçue... Dans les deux autres romans de l'auteur, il y a la même sorte de tension et d'angoisse. L'atmosphère est pesante et parfois anxiogène. Et cette tension augmente, augmente, jusqu'à arriver à une fin hyper explosive avec des révélations dingues. Or, dans celui-ci, j'ai trouvé que ça retombait comme un soufflet et c'est vraiment dommage. Je n'ai pas trouvé la fin explosive, au contraire j'ai l'impression d'avoir fait une grosse chute et au lieu d’atterrir dans un coup de tonnerre, j'ai juste atterri les fesses par terre, sans rien amortir. La tension monte, monte, monte et d'un coup « bam ». Pas de « BOOM », juste un « bam ». Mouais, Fitzek tu m'as habituée à beaucoup mieux.
En conclusion, la tension est palpable de la première et la dernière page. J'ai trouvé ce roman anxiogène par moment et très, très angoissant. Fitzek joue avec son lecteur et l'atmosphère du récit, ce qui fait qu'on est poussé dans notre lecture. Les chapitres se dévorent jusqu'à la dernière page. Cependant, j'aurais aimé une autre fin, une fin beaucoup plus explosive. J'ai hâte de découvrir son prochain ! À l'année prochaine Sebastian Fitzek ?