Éditions : On lit plus fort
Genre : YA / Feel good
Date de publication : 20 / 09 / 18
Nombre de pages : 218
Genre : YA / Feel good
Date de publication : 20 / 09 / 18
Nombre de pages : 218
Noé, 15 ans, vit sur la côte atlantique. Suite à un accident de surf, il est atteint de phobie et de bégaiement. L'organisation d'un concours de nouvelles change le cours de son existence.
Je remercie chaleureusement On lit plus fort pour l'envoi de ce service presse.
La théorie de l'iceberg a un titre tout a fait étrange et à la lecture du résumé on se demande bien quel lien peut-il y avoir entre les deux. Pour la première fois, Gallimard renouvelle le young adult en y intégrant un roman feel good. Ce petit roman de 200 pages nous fait l'effet d'un petit caramel fondant en bouche. Il se savoure et se déguste avec douceur et délicatesse.
Noé est un adolescent de 15 ans, passionné de surf. Lui et l'océan ne font plus qu'un et se fondent l'un dans l'autre. Jusqu'au jour où il va être victime d'un accident, le laissant avec des séquelles psychologiques. Noé développe une phobie post-traumatique. L'océan le terrifie. Le surf s'est terminé pour lui. Depuis cet événement, Noé bégaye. Les mots, son cri de terreur sont restés bloqués en lui. Il a du mal à s'exprimer et à s'ouvrir au monde. Il se réfugie dans la musique et dans l'écriture. Noé suit des séances de thérapie avec un psy au look de cow-boy. Il doit « cogner » le monde, foncer, oser, rêver et vivre. Durant les 200 pages, Noé va faire des rencontres qui vont lui changer la vie, redonner confiance en lui et qui vont lui permettre de s'épanouir, de « cogner » le monde. Parce que le plus important « ce sont les rencontres que nous faisons ».
Je me suis attachée à ce jeune adolescent, mal dans sa peau. Il a, à la fois, l'innocence de ses 15 ans et il sait aussi faire preuve d'une grande maturité et de philosophie. J'ai beaucoup aimé son évolution. Nous faisons la connaissance d'un Noé au début du roman, à la fin c'est un autre plus mûr et plus sûr de lui que nous laissons. Dans ses rencontres, Lorraine et Mr Hereira sont ceux qui retiennent le plus notre attention. Lorraine est une adolescente de 15 ans et elle va aider Noé à s'ouvrir au monde. Quant à Mr Hereira, un lien particulier naît entre les deux personnages et on peut dire que leur rencontre est explosif. Hereira est un personnage original et loufoque. J'ai beaucoup aimé leur relation et leur complicité basée sur l'écriture, de maître à élève. Le titre prend alors tout son sens.
Le roman reste simple. Il est léger et frais. J'ai passé un bon moment de lecture. J'ai beaucoup aimé son déroulé et sa simplicité. De nombreuses références pop culture sont présentes dans le récit pour mon plus grand plaisir. L'écriture de Christopher Bouix nous emporte facilement au bord de l'océan, en compagnie de personnages attachants et laisse passer des messages forts et universels. Chacun d'entre nous peut s'identifier à ce jeune adolescent, plein de doutes et d'interrogations pour affronter l'avenir. Je suis sortie de cette lecture avec le sourire aux lèvres et le cœur léger !
La théorie de l'iceberg a un titre tout a fait étrange et à la lecture du résumé on se demande bien quel lien peut-il y avoir entre les deux. Pour la première fois, Gallimard renouvelle le young adult en y intégrant un roman feel good. Ce petit roman de 200 pages nous fait l'effet d'un petit caramel fondant en bouche. Il se savoure et se déguste avec douceur et délicatesse.
Noé est un adolescent de 15 ans, passionné de surf. Lui et l'océan ne font plus qu'un et se fondent l'un dans l'autre. Jusqu'au jour où il va être victime d'un accident, le laissant avec des séquelles psychologiques. Noé développe une phobie post-traumatique. L'océan le terrifie. Le surf s'est terminé pour lui. Depuis cet événement, Noé bégaye. Les mots, son cri de terreur sont restés bloqués en lui. Il a du mal à s'exprimer et à s'ouvrir au monde. Il se réfugie dans la musique et dans l'écriture. Noé suit des séances de thérapie avec un psy au look de cow-boy. Il doit « cogner » le monde, foncer, oser, rêver et vivre. Durant les 200 pages, Noé va faire des rencontres qui vont lui changer la vie, redonner confiance en lui et qui vont lui permettre de s'épanouir, de « cogner » le monde. Parce que le plus important « ce sont les rencontres que nous faisons ».
Je me suis attachée à ce jeune adolescent, mal dans sa peau. Il a, à la fois, l'innocence de ses 15 ans et il sait aussi faire preuve d'une grande maturité et de philosophie. J'ai beaucoup aimé son évolution. Nous faisons la connaissance d'un Noé au début du roman, à la fin c'est un autre plus mûr et plus sûr de lui que nous laissons. Dans ses rencontres, Lorraine et Mr Hereira sont ceux qui retiennent le plus notre attention. Lorraine est une adolescente de 15 ans et elle va aider Noé à s'ouvrir au monde. Quant à Mr Hereira, un lien particulier naît entre les deux personnages et on peut dire que leur rencontre est explosif. Hereira est un personnage original et loufoque. J'ai beaucoup aimé leur relation et leur complicité basée sur l'écriture, de maître à élève. Le titre prend alors tout son sens.
Le roman reste simple. Il est léger et frais. J'ai passé un bon moment de lecture. J'ai beaucoup aimé son déroulé et sa simplicité. De nombreuses références pop culture sont présentes dans le récit pour mon plus grand plaisir. L'écriture de Christopher Bouix nous emporte facilement au bord de l'océan, en compagnie de personnages attachants et laisse passer des messages forts et universels. Chacun d'entre nous peut s'identifier à ce jeune adolescent, plein de doutes et d'interrogations pour affronter l'avenir. Je suis sortie de cette lecture avec le sourire aux lèvres et le cœur léger !