Éditions : J'ai lu
Genre : Contemporain
Date de publication : 10 / 18
Nombre de pages : 221
Genre : Contemporain
Date de publication : 10 / 18
Nombre de pages : 221
Imaginez un monde où personne ne s'éteint.
Imaginez un service de soins palliatifs où personne ne succombe.
Imaginez un univers o^la mort en a ras la faux et fait un burn out.
Emm n'en peut plus. Un matin, elle s'arrête et s'assoit. Ses bras sont de plomb, elle pèse une tonne, elle ne peut plus se lever.
En se laissant aller à son spleen, elle rencontre Suzie, une jeune femme dont la gentillesse va l'émouvoir. Commence alors un périple extraordinaire au cours duquel Emm va découvrir la richesse de la nature humaine.
Imaginez un service de soins palliatifs où personne ne succombe.
Imaginez un univers o^la mort en a ras la faux et fait un burn out.
Emm n'en peut plus. Un matin, elle s'arrête et s'assoit. Ses bras sont de plomb, elle pèse une tonne, elle ne peut plus se lever.
En se laissant aller à son spleen, elle rencontre Suzie, une jeune femme dont la gentillesse va l'émouvoir. Commence alors un périple extraordinaire au cours duquel Emm va découvrir la richesse de la nature humaine.
Je remercie les Éditions J'ai lu pour cette découverte !
La mort est une femme comme les autres de Marie Pavlenko est un roman qui me fait très envie depuis sa sortie en grand format. Sa parution en poche est l'occasion parfaite pour découvrir ce roman qui s'annonce, à la lecture du résumé, complètement décalé !
La Mort fait partie intégrante de notre vie, elle est la fin de toute chose. C'est le cercle de la vie. Si on ne pense pas tous les jours à notre ultime jour sur la terre, on y est confronté. Imaginez alors que la Mort n'existe plus. Les gens ne meurent plus, qu'ils soient en train de souffrir, qu'ils aient une balle dans la tête ou autre. C'est le cas dans cette histoire. Emm, ou plutôt La Mort, en a marre. Elle fait un burn-out. Cela fait des milliers d'années qu'elle prend la vie des humains, qu'elle subit leurs jérémiades et qu'elle n'a plus de temps pour elle, pour prendre des vacances. Son travail ne lui plaît plus et même sa plus fidèle alliée, sa Faux, n'arrive pas à lui remonter le moral. Dans son mal-être Emm va rencontrer Suzie, une jeune femme de trente ans, en phase terminale. Emm va être touchée par sa gentillesse et sa bonté. Avec leur amitié, Emm part à la découverte de la nature humaine. Elle va contempler les êtres humains sous un nouveau regard.
Dans son roman totalement loufoque et rocambolesque, Marie Pavlenko traite avec intelligence de sujets profonds. Elle nous amène à réfléchir sur la Mort et à l'appréhender d'une autre façon. Pourquoi a-t-on peur de mourir ? Et d'une certaine manière nous amène à réfléchir sur notre vie au quotidien. Elle nous rappelle l'importance de vivre et de croquer la vie à pleine dents. Elle nous fait également réfléchir sur l'euthanasie. Si la mort n'existe plus, les personnes malades sont condamnés à vivre dans la souffrance éternelle. L'auteure parle de la nature humaine qui s'avère cruel quand elle est perdue ou qu'elle ne comprend pas ce qui se passe autour d'elle. Mais elle montre également ses bons côtés.
Marie Pavlenko rend la Mort attachante avec le personnage d'Emm. J'ai aimé ses remarques caustiques, ses sarcasmes et son côté brut de décoffrage. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et oublie souvent qu'elle parle aux êtres humains. J'ai aimé suivre son analyse sur les Hommes et voir sa perception évoluée, grâce à son amitié avec Suzie.
En bref, Marie Pavlenko nous offre, ici, un roman original et complètement barré. Je vous préviens, attendez-vous à des moments complètement « WTF » mais qui colle parfaitement à l'ambiance du récit. Bourrée d'humour, je me suis surprise à rire plusieurs fois durant ma lecture. Une lecture facile et rapide, avec des personnages attachants et qui, dans son contenu, nous amène à réfléchir sur différents sujets.
La mort est une femme comme les autres de Marie Pavlenko est un roman qui me fait très envie depuis sa sortie en grand format. Sa parution en poche est l'occasion parfaite pour découvrir ce roman qui s'annonce, à la lecture du résumé, complètement décalé !
La Mort fait partie intégrante de notre vie, elle est la fin de toute chose. C'est le cercle de la vie. Si on ne pense pas tous les jours à notre ultime jour sur la terre, on y est confronté. Imaginez alors que la Mort n'existe plus. Les gens ne meurent plus, qu'ils soient en train de souffrir, qu'ils aient une balle dans la tête ou autre. C'est le cas dans cette histoire. Emm, ou plutôt La Mort, en a marre. Elle fait un burn-out. Cela fait des milliers d'années qu'elle prend la vie des humains, qu'elle subit leurs jérémiades et qu'elle n'a plus de temps pour elle, pour prendre des vacances. Son travail ne lui plaît plus et même sa plus fidèle alliée, sa Faux, n'arrive pas à lui remonter le moral. Dans son mal-être Emm va rencontrer Suzie, une jeune femme de trente ans, en phase terminale. Emm va être touchée par sa gentillesse et sa bonté. Avec leur amitié, Emm part à la découverte de la nature humaine. Elle va contempler les êtres humains sous un nouveau regard.
Dans son roman totalement loufoque et rocambolesque, Marie Pavlenko traite avec intelligence de sujets profonds. Elle nous amène à réfléchir sur la Mort et à l'appréhender d'une autre façon. Pourquoi a-t-on peur de mourir ? Et d'une certaine manière nous amène à réfléchir sur notre vie au quotidien. Elle nous rappelle l'importance de vivre et de croquer la vie à pleine dents. Elle nous fait également réfléchir sur l'euthanasie. Si la mort n'existe plus, les personnes malades sont condamnés à vivre dans la souffrance éternelle. L'auteure parle de la nature humaine qui s'avère cruel quand elle est perdue ou qu'elle ne comprend pas ce qui se passe autour d'elle. Mais elle montre également ses bons côtés.
Marie Pavlenko rend la Mort attachante avec le personnage d'Emm. J'ai aimé ses remarques caustiques, ses sarcasmes et son côté brut de décoffrage. Elle n'a pas sa langue dans sa poche et oublie souvent qu'elle parle aux êtres humains. J'ai aimé suivre son analyse sur les Hommes et voir sa perception évoluée, grâce à son amitié avec Suzie.
En bref, Marie Pavlenko nous offre, ici, un roman original et complètement barré. Je vous préviens, attendez-vous à des moments complètement « WTF » mais qui colle parfaitement à l'ambiance du récit. Bourrée d'humour, je me suis surprise à rire plusieurs fois durant ma lecture. Une lecture facile et rapide, avec des personnages attachants et qui, dans son contenu, nous amène à réfléchir sur différents sujets.