Éditions : OLPF / Gallimard Jeunesse
Genre : Young Adult
Date de publication : 05 / 02 / 20
Nombre de pages : 464
Genre : Young Adult
Date de publication : 05 / 02 / 20
Nombre de pages : 464
Tout le monde a des cicatrices, certaines sont juste plus visibles que d'autres.
Ava a tout perdu dans l'incendie qui a ravagé sa maison. Ses parents. Sa meilleure amie. Même son visage. Elle n'a pas besoin d'un miroir pour savoir à quoi elle ressemble: la violence du regard des autres suffit. De retour au Lycée, Ava ne pensait pas tenir plus d'une semaine. Jusqu'à ce qu'elle rencontre la piquante Piper, qui porte comme elle des cicatrices, et Asad, technicien du groupe théâtre -qui partagent sa force de caractère et son humour à toute épreuve.
Ava a tout perdu dans l'incendie qui a ravagé sa maison. Ses parents. Sa meilleure amie. Même son visage. Elle n'a pas besoin d'un miroir pour savoir à quoi elle ressemble: la violence du regard des autres suffit. De retour au Lycée, Ava ne pensait pas tenir plus d'une semaine. Jusqu'à ce qu'elle rencontre la piquante Piper, qui porte comme elle des cicatrices, et Asad, technicien du groupe théâtre -qui partagent sa force de caractère et son humour à toute épreuve.
Je remercie chaleureusement l'équipe de l'OLPF pour l'envoi de ce service presse.
Je savais que ce roman allait me toucher. Indéniablement. Je ne pensais pas qu'il lirait aussi vite. Et pourtant. Je l'ai commencé et les pages ont défilées toutes seules.
Émouvant. C'est le premier mot qui me viendrait à l'esprit pour qualifier le roman de Erin Stewart. Ava, Piper, Asad et les autres personnages m'ont fait vivre quelque chose de fort, d'intense et de poignant, par leur souffrance, leur blessure, leur cicatrice – invisibles ou non – mais aussi par leurs mots, leurs attentions et générosités. Je n'ai pas eu de mal à me mettre à la place d'Ava, cette lycéenne qui a tout perdu et qui doit faire face à son reflet, mais plus que tout aux regards des autres. Et comment s'affirmer ? Comment s'assumer quand tout le monde nous lance des regards ou encore nous appelle le monstre de Frankestein ? Comment continuer à vivre quand l'incendie nous a arraché en plus de notre peau, les gens qu'on aime ? Comment faire face aux regards des autres ? Comment aimer ? Comment se faire des amis ? Toutes ces questions, Ava va y faire face et elle trouvera ses réponses. Jamais seule, non accompagnée des gens qui l'aime pour ce qu'elle est et qui la voit au-delà du simple physique.
Ava est belle. Ava est forte. Ava est courageuse. J'ai adoré son personnage. Je me suis reconnue en elle à certains moments. Et elle m'a irrémédiablement touchée. J'ai aimé être dans ses pensées ; découvrir toutes ses facettes, les bons comme les moins bons, qui l'a rend avant tout humaine. J'ai aimé la voir évoluer, se dépasser et trouver sa « nouvelle normalité ». J'ai beaucoup aimé les personnages qui gravitent autour d'elle notamment Piper et Asad. Piper est piquante, exubérante et n'a pas sa langue dans sa poche et pourtant son personnage est beaucoup plus complexe que ce qu'elle nous laisse paraître aux premiers abords. Quant à Cora et Glenn, l'oncle et la tante d'Ava, ils sont prêts à tout pour l'aider, l'épauler, et la rendre heureuse. Je les ai beaucoup aimé aussi. Je crois qu'il est difficile de ne pas s'attacher aux personnages dans ce roman.
Erin Stewart aborde un sujet fort et sensible avec profondeur et habileté pour ne pas tomber dans le pathos. On vogue entre de très belles émotions, des scènes touchantes et pleines d'humanité tandis que certaines m'ont mises hors de moi. J'ai ressenti de la colère et de la frustration face à certaines réactions maladroites ou carrément déplacées de personnes que peut croiser Ava. J'ai eu les larmes aux yeux à deux reprises.
En conclusion, une très belle histoire de reconstruction et d'acceptation. Le sujet est traité avec sensibilité et profondeur, le tout accompagnée d'une plume émouvante et de personnages attachants. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et j'ai adoré !
Je savais que ce roman allait me toucher. Indéniablement. Je ne pensais pas qu'il lirait aussi vite. Et pourtant. Je l'ai commencé et les pages ont défilées toutes seules.
Émouvant. C'est le premier mot qui me viendrait à l'esprit pour qualifier le roman de Erin Stewart. Ava, Piper, Asad et les autres personnages m'ont fait vivre quelque chose de fort, d'intense et de poignant, par leur souffrance, leur blessure, leur cicatrice – invisibles ou non – mais aussi par leurs mots, leurs attentions et générosités. Je n'ai pas eu de mal à me mettre à la place d'Ava, cette lycéenne qui a tout perdu et qui doit faire face à son reflet, mais plus que tout aux regards des autres. Et comment s'affirmer ? Comment s'assumer quand tout le monde nous lance des regards ou encore nous appelle le monstre de Frankestein ? Comment continuer à vivre quand l'incendie nous a arraché en plus de notre peau, les gens qu'on aime ? Comment faire face aux regards des autres ? Comment aimer ? Comment se faire des amis ? Toutes ces questions, Ava va y faire face et elle trouvera ses réponses. Jamais seule, non accompagnée des gens qui l'aime pour ce qu'elle est et qui la voit au-delà du simple physique.
Ava est belle. Ava est forte. Ava est courageuse. J'ai adoré son personnage. Je me suis reconnue en elle à certains moments. Et elle m'a irrémédiablement touchée. J'ai aimé être dans ses pensées ; découvrir toutes ses facettes, les bons comme les moins bons, qui l'a rend avant tout humaine. J'ai aimé la voir évoluer, se dépasser et trouver sa « nouvelle normalité ». J'ai beaucoup aimé les personnages qui gravitent autour d'elle notamment Piper et Asad. Piper est piquante, exubérante et n'a pas sa langue dans sa poche et pourtant son personnage est beaucoup plus complexe que ce qu'elle nous laisse paraître aux premiers abords. Quant à Cora et Glenn, l'oncle et la tante d'Ava, ils sont prêts à tout pour l'aider, l'épauler, et la rendre heureuse. Je les ai beaucoup aimé aussi. Je crois qu'il est difficile de ne pas s'attacher aux personnages dans ce roman.
Erin Stewart aborde un sujet fort et sensible avec profondeur et habileté pour ne pas tomber dans le pathos. On vogue entre de très belles émotions, des scènes touchantes et pleines d'humanité tandis que certaines m'ont mises hors de moi. J'ai ressenti de la colère et de la frustration face à certaines réactions maladroites ou carrément déplacées de personnes que peut croiser Ava. J'ai eu les larmes aux yeux à deux reprises.
En conclusion, une très belle histoire de reconstruction et d'acceptation. Le sujet est traité avec sensibilité et profondeur, le tout accompagnée d'une plume émouvante et de personnages attachants. Je ne me suis pas ennuyée une seule seconde et j'ai adoré !