Éditions : Livre de Poche
Genre : Thriller psychologique
Date de publication : 02 / 01 / 20
Nombre de pages : 416
Genre : Thriller psychologique
Date de publication : 02 / 01 / 20
Nombre de pages : 416
Alice, jeune peintre britannique en vogue, vit dans une superbe maison près de Londres avec Gabriel, photographe de mode. Quand elle est retrouvée chez elle, hagarde et recouverte de sang devant son mari défiguré par des coups de couteau fatals, la presse s’enflamme. Aussitôt arrêtée,Alice ne prononce plus jamais le moindre mot, même au tribunal. Elle est jugée mentalement irresponsable et envoyée dans une clinique psychiatrique.
Six ans plus tard, le docteur Theo Faber, ambitieux psychiatre, n’a qu’une obsession : parvenir à faire reparler Alice. Quand une place se libère dans la clinique où elle est internée, il réussit à s’y faire embaucher, et entame avec elle une série de face-à-face glaçants dans l’espoir de lui extirper un mot. Et alors qu’il commence à perdre espoir, Alice s’anime soudain. Mais sa réaction est tout sauf ce à quoi il s’attendait…
Six ans plus tard, le docteur Theo Faber, ambitieux psychiatre, n’a qu’une obsession : parvenir à faire reparler Alice. Quand une place se libère dans la clinique où elle est internée, il réussit à s’y faire embaucher, et entame avec elle une série de face-à-face glaçants dans l’espoir de lui extirper un mot. Et alors qu’il commence à perdre espoir, Alice s’anime soudain. Mais sa réaction est tout sauf ce à quoi il s’attendait…
Je remercie chaleureusement les Éditions le Livre de Poche et particulièrement William de m'avoir contacté pour découvrir leur nouvelle parution.
Je suis partie sans attentes, seulement avec l'envie de découvrir cette histoire et d'essayer de percer le mystère Alicia Berenson. Le résumé est assez intriguant. Une jeune peintre retrouvée à côté du cadavre de son mari photographe qui se mure dans un silence, il y a de quoi se poser quelques questions. Est-elle coupable ? Est-elle folle ? Est-elle la victime d'une machination effrayante ? Qu'est-ce qui s'est réellement passé ce 25 août au soir ? J'ai essayé de trouver des réponses. Mon cerveau n'a cessé de tournoyer, de réfléchir durant toute ma lecture. J'ai essayé de décoder les indices, de les regrouper, de trouver un lien dans les actes, les paroles et même le silence des personnages. À 100 pages de la fin, j'étais presque sûre d'avoir résolu le mystère Alicia Berenson. Que nenni... J'ai été bernée, et bien bernée...
Chapeau Alex Michaeldelis. Pour un premier roman la barre est mise très haute. Je ne m'attendais pas du tout, mais absolument pas à ce dénouement. Je me suis faite prendre au piège. À aucun moment, je n'ai imaginé cela. C'était intelligent, finement joué et le suspense est manié avec brio de la première à la dernière page. C'est ce que j'aime dans les thrillers : être surprise et que la fin me laisse bouche bée. J'ai eu ma dose ! Et j'étais plus que ravie.
Le suspense est là et la tension augmente au fil des pages. J'avais envie de savoir, de découvrir. Dans son silence nous rend addict. On est pris dans l'engrenage. Et plus les pages avancent, plus on est accro. Où Alex Michaeldelis va-t-il nous mener ? On sent que le moment de la révélation approche, alors on lit, on lit, on lit, jusqu'en avoir le souffle coupé et que le verdict tombe, nous mettant KO.
La construction du récit nous permet d'immerger encore plus dans le récit, cela rajoute une atmosphère et participe à son addictivité. Cette construction à double-temporalité est d'autant plus réfléchit par l'auteur, bien pensé et bien construite, arrivé à la fin du roman. Nous allons suivre le journal intime de Alicia Berenson avant l'événement tragique du 25 août et à côté, nous suivons son psychothérapeute. J'ai adoré cette construction ! J'ai adoré suivre Alicia à travers son journal. Ça nous permet d'apprendre à la connaître à travers son silence et de nous sentir plus proche d'elle, de ressentir une forme d'empathie ou de compassion pour cette femme. Quant à Théo, son psychothérapeute, nous allons le suivre durant ses séances avec Alicia, mais aussi dans sa vie privée. Cela crée une proximité, car nous ne voyons pas quand lui le médecin, mais aussi l'homme qu'il est avec son passé et son présent.
En conclusion, j'ai adoré, adoré, adoré. J'ai vraiment été surprise. À aucun moment je n'ai suspecté, ni même imaginé ce final grandiose. Le récit est rythmé par un suspense manié avec finesse nous rendant complètement accro au récit. C'est un récit brillant, maîtrisé avec soin dans sa construction, dans son atmosphère. L'immersion est totale. Il nous amène au cœur le plus sombre de la psychologie humaine. Le page-turner est au rendez-vous. Dans son silence est addictif et complètement ouf !
Je suis partie sans attentes, seulement avec l'envie de découvrir cette histoire et d'essayer de percer le mystère Alicia Berenson. Le résumé est assez intriguant. Une jeune peintre retrouvée à côté du cadavre de son mari photographe qui se mure dans un silence, il y a de quoi se poser quelques questions. Est-elle coupable ? Est-elle folle ? Est-elle la victime d'une machination effrayante ? Qu'est-ce qui s'est réellement passé ce 25 août au soir ? J'ai essayé de trouver des réponses. Mon cerveau n'a cessé de tournoyer, de réfléchir durant toute ma lecture. J'ai essayé de décoder les indices, de les regrouper, de trouver un lien dans les actes, les paroles et même le silence des personnages. À 100 pages de la fin, j'étais presque sûre d'avoir résolu le mystère Alicia Berenson. Que nenni... J'ai été bernée, et bien bernée...
Chapeau Alex Michaeldelis. Pour un premier roman la barre est mise très haute. Je ne m'attendais pas du tout, mais absolument pas à ce dénouement. Je me suis faite prendre au piège. À aucun moment, je n'ai imaginé cela. C'était intelligent, finement joué et le suspense est manié avec brio de la première à la dernière page. C'est ce que j'aime dans les thrillers : être surprise et que la fin me laisse bouche bée. J'ai eu ma dose ! Et j'étais plus que ravie.
Le suspense est là et la tension augmente au fil des pages. J'avais envie de savoir, de découvrir. Dans son silence nous rend addict. On est pris dans l'engrenage. Et plus les pages avancent, plus on est accro. Où Alex Michaeldelis va-t-il nous mener ? On sent que le moment de la révélation approche, alors on lit, on lit, on lit, jusqu'en avoir le souffle coupé et que le verdict tombe, nous mettant KO.
La construction du récit nous permet d'immerger encore plus dans le récit, cela rajoute une atmosphère et participe à son addictivité. Cette construction à double-temporalité est d'autant plus réfléchit par l'auteur, bien pensé et bien construite, arrivé à la fin du roman. Nous allons suivre le journal intime de Alicia Berenson avant l'événement tragique du 25 août et à côté, nous suivons son psychothérapeute. J'ai adoré cette construction ! J'ai adoré suivre Alicia à travers son journal. Ça nous permet d'apprendre à la connaître à travers son silence et de nous sentir plus proche d'elle, de ressentir une forme d'empathie ou de compassion pour cette femme. Quant à Théo, son psychothérapeute, nous allons le suivre durant ses séances avec Alicia, mais aussi dans sa vie privée. Cela crée une proximité, car nous ne voyons pas quand lui le médecin, mais aussi l'homme qu'il est avec son passé et son présent.
En conclusion, j'ai adoré, adoré, adoré. J'ai vraiment été surprise. À aucun moment je n'ai suspecté, ni même imaginé ce final grandiose. Le récit est rythmé par un suspense manié avec finesse nous rendant complètement accro au récit. C'est un récit brillant, maîtrisé avec soin dans sa construction, dans son atmosphère. L'immersion est totale. Il nous amène au cœur le plus sombre de la psychologie humaine. Le page-turner est au rendez-vous. Dans son silence est addictif et complètement ouf !