Editions : l'Archipel
Genre : Historique
Date de publication : 7 juin 2017
Nombre de pages : 660
Nouvelle-Zélande, 1875. Lizzie et Michael cultivent l’espoir d’un jour posséder leur propre domaine. Mais ces perspectives heureuses sont soudain assombries par la disparition de leur fi lle adoptive, kidnappée par un chef maori…
Pendant que Michael se démène pour retrouver sa fi lle, Kathleen – son ancienne fi ancée – apprend une bonne nouvelle : son fi ls Colin rentre au pays. Mais nul ne mesure les conséquences de ce retour pour les deux familles…
Prenant pour toile de fond les paysages grandioses de la Nouvelle- Zélande, Sarah Lark fait la part belle à ses héroïnes, et au combat qu’elles mènent pour conquérir liberté et indépendance.
Pendant que Michael se démène pour retrouver sa fi lle, Kathleen – son ancienne fi ancée – apprend une bonne nouvelle : son fi ls Colin rentre au pays. Mais nul ne mesure les conséquences de ce retour pour les deux familles…
Prenant pour toile de fond les paysages grandioses de la Nouvelle- Zélande, Sarah Lark fait la part belle à ses héroïnes, et au combat qu’elles mènent pour conquérir liberté et indépendance.
Depuis l’année dernière j’ai dans ma PAL Le pays du nuage blanc de Sarah Lark et je n’ai toujours pas eu le temps de le lire avec cette année mouvementée... Il va falloir remédier à cela ! Avec ce roman paru le mois dernier aux éditions l’Archipel, c’était le moment de découvrir cette auteure qui fait beaucoup parler d’elle. Je tiens à remercier les éditions l’Archipel pour l’envoi de ce roman.
Après la lecture de ce roman, je me suis rendue compte qu’en réalité c’était un tome 2... Mais pas de panique puisque ce sont des tomes compagnons. Et sans le savoir je me suis procurée le tome 1 qui s’intitule Les rives de la terre lointaine. Dans le tome 1 nous suivons les histoires des parents et dans celui-ci nous suivons les histoires des enfants. Alors certes, je sais comment se termine le tome précédent puisque je sais l’histoire familiale mais ce n’est pas grave, je lirai avec plaisir l’histoire de Michael, Lizzie et Kathleen avec plaisir. Cela ne m’a pas dérangé non plus dans la compréhension de l’histoire et des liens familiaux.
Nous suivons plusieurs personnages : des gentils, des méchants, ceux auxquels on s’attache, ceux à qui on leur souhaite que la vie soit aussi cruelle avec eux qui le sont avec leur entourage. Principalement, l’histoire se centre sur les aventures de Matariki, une jeune maorie et de Violette, une jeune blanche, fille de mineur. Deux classes sociales différentes, deux manières de vivre différentes, l’auteure nous fait découvrir deux mondes différents qui vont s’entrechoquer par les liens familiaux et par les rencontres.
Je me suis énormément attachée à Violette. Elle ne va pas avoir la vie facile et va devoir endurer beaucoup de difficultés avant de pouvoir être qui elle est, vivre heureuse et s’épanouir. Je vous passe sous silence ce qu’elle a vécu mais la condition des femmes à cette époque est dure surtout chez les pauvres et les mineurs. Matariki à côté de Violette, je l’ai trouvé égoïste et capricieuse. J’ai eu moins d’attache pour elle, pourtant son histoire et celle de son peuple est intéressante.
Le gros point positif pour moi dans ce roman c’est son histoire. J’ai aimé découvrir un nouveau pays : la Nouvelle-Zélande. Je n’avais encore jamais lu de roman qui se passe dans ce pays, notamment au XIXème siècle. J’ai adoré découvrir les coutumes des maoris, découvrir leur manière de vivre, leurs chants, leurs histoires et légendes ainsi que la guerre qui les opposent aux blancs. Toutefois, j’ai eu un peu de mal à tout suivre et à tout comprendre puisque leur hiérarchie n’est pas toujours évidente. Puis du côté des mineurs, ça m’a fait penser à la série Poldark que j’aime (<3).
Dans ce roman ce qui ressort le plus c’est le combat des femmes pour s’émanciper de l’homme. J’ai adoré toute cette partie de l’histoire : voir toutes celles qui malgré la fureur de leur mari vont continuer à se battre pour leur droit, voir certains hommes se rallier à leur cause. C’était génial !
En bref, ma première expérience avec Sarah Lark était très bien ! Je lirai ses autres romans avec plaisir, notamment je pense lire Les rives de la terre lointaine. J’ai aimé autant sa plume, la douceur de son écriture et à la fois elle ne nous épargne pas.
Après la lecture de ce roman, je me suis rendue compte qu’en réalité c’était un tome 2... Mais pas de panique puisque ce sont des tomes compagnons. Et sans le savoir je me suis procurée le tome 1 qui s’intitule Les rives de la terre lointaine. Dans le tome 1 nous suivons les histoires des parents et dans celui-ci nous suivons les histoires des enfants. Alors certes, je sais comment se termine le tome précédent puisque je sais l’histoire familiale mais ce n’est pas grave, je lirai avec plaisir l’histoire de Michael, Lizzie et Kathleen avec plaisir. Cela ne m’a pas dérangé non plus dans la compréhension de l’histoire et des liens familiaux.
Nous suivons plusieurs personnages : des gentils, des méchants, ceux auxquels on s’attache, ceux à qui on leur souhaite que la vie soit aussi cruelle avec eux qui le sont avec leur entourage. Principalement, l’histoire se centre sur les aventures de Matariki, une jeune maorie et de Violette, une jeune blanche, fille de mineur. Deux classes sociales différentes, deux manières de vivre différentes, l’auteure nous fait découvrir deux mondes différents qui vont s’entrechoquer par les liens familiaux et par les rencontres.
Je me suis énormément attachée à Violette. Elle ne va pas avoir la vie facile et va devoir endurer beaucoup de difficultés avant de pouvoir être qui elle est, vivre heureuse et s’épanouir. Je vous passe sous silence ce qu’elle a vécu mais la condition des femmes à cette époque est dure surtout chez les pauvres et les mineurs. Matariki à côté de Violette, je l’ai trouvé égoïste et capricieuse. J’ai eu moins d’attache pour elle, pourtant son histoire et celle de son peuple est intéressante.
Le gros point positif pour moi dans ce roman c’est son histoire. J’ai aimé découvrir un nouveau pays : la Nouvelle-Zélande. Je n’avais encore jamais lu de roman qui se passe dans ce pays, notamment au XIXème siècle. J’ai adoré découvrir les coutumes des maoris, découvrir leur manière de vivre, leurs chants, leurs histoires et légendes ainsi que la guerre qui les opposent aux blancs. Toutefois, j’ai eu un peu de mal à tout suivre et à tout comprendre puisque leur hiérarchie n’est pas toujours évidente. Puis du côté des mineurs, ça m’a fait penser à la série Poldark que j’aime (<3).
Dans ce roman ce qui ressort le plus c’est le combat des femmes pour s’émanciper de l’homme. J’ai adoré toute cette partie de l’histoire : voir toutes celles qui malgré la fureur de leur mari vont continuer à se battre pour leur droit, voir certains hommes se rallier à leur cause. C’était génial !
En bref, ma première expérience avec Sarah Lark était très bien ! Je lirai ses autres romans avec plaisir, notamment je pense lire Les rives de la terre lointaine. J’ai aimé autant sa plume, la douceur de son écriture et à la fois elle ne nous épargne pas.
Avis partenaires :