Editions : City
Genre : Thriller
Date de publication : 24 août 2016
Nombre de pages : 350
Un scientifique se jette par la fenêtre de son appartement parisien. Sur son torse, on découvre des lettres gravées à l’encre sanglante, un message destiné à Thomas Cazan, le journaliste spécialisé dans les affaires étranges. Au même moment, un autre chercheur est retrouvé mort devant l’immeuble où habite sa fille Agnès. Ce vieil excentrique, mis au ban de la communauté scientifique, s’était toute sa vie passionné pour une ancienne partition de musique qui aurait le pouvoir de tuer… C’est le début d’une étrange aventure pour Thomas et Agnès qui décident de collaborer pour lever le voile sur les circonstances de ces morts tragiques et mystérieuses. Une enquête au cours de laquelle sociétés secrètes, multinationales et scientifiques sans scrupules n’hésiteront pas à faire couler le sang pour s’approprier le secret de la « musique des ténèbres »…
Je tiens tout d’abord à remercier les éditions City et LP conseils pour l’envoi de ce service presse.
Le thriller est un genre que j’affectionne très particulièrement bien que ça ne soit pas le genre littéraire que je lis le plus par peur de finir par m’en lasser. Puis quand j’en lis un, c’est pour le savourer entièrement. Quand j’ai vu ce roman dans les parutions, je me suis tout de suite dit qu’il était fait pour moi. Le résumé, la couverture mais surtout le titre m’a indéniablement attiré. J’ai bien fait ! Je ne regrette absolument pas mon choix !
Deux scientifiques meurent simultanément dans deux endroits différents. Quel est le lien entre ces deux affaires ? Thomas Carzan et Agnès Lecomte se retrouve tous deux mêlés à cette affaire malgré eux. Ils décident de résoudre l’enquête seuls et de découvrir le lien qui unit ces deux affaires. Un chant mélodique datant de l’Inquisition viendra se mêler à cette histoire. Action, suspense, course-poursuite, mystère et suspense sont bien au rendez-vous ! Tous ceux qui aiment les thrillers mélangeant suspense et ésotérisme, je ne peux que vous le conseiller, vous ne sortirez pas déçu de ce roman.
Thomas Carzan est le personnage principal du premier roman d’Eric Bony, Le Tombeau du diable. Je ne l’ai pas lu mais les deux enquêtes n’étant pas liées, ça ne dérange pas à la compréhension de l’intrigue. Il y a deux références à ce qu’a vécu le personnage dans l’opus précédent mais rien d’important. En tout cas, un troisième est en préparation et c’est avec grand plaisir que je lirai la prochaine aventure de ce journaliste.
J’ai beaucoup aimé Thomas et Agnès. Ils sont tous les deux attachants, bien que leurs points de vus soient divergents. Ils sont confrontés à des choses effroyables, terribles et difficile à imaginer. Ils se connaissent depuis peu mais reste soudés. J’ai aimé leur duo. Certaines de leurs réactions m’énervaient, à croire qu’ils aimaient se mettre dans des guet-apens. Surtout Agnès, elle ne fait pas confiance en son instinct, en Thomas quand il le faudrait et bien trop méfiante quand il faudrait qu’elle soit ouverte d’esprit. J’ai voulu la secouer pour qu’elle se réveille ! Le pire se sont les scènes où ils se retrouvent avec le « Maître » et les criminels. J’étais là à m’écrier et à me dire : « vous ne voyez pas que vous êtes en train de vous faire avoir et qu’ils sont louches ! »
Eric Bony nous offre des personnages attachants mais aussi des personnages effrayants et qui font véritablement froid dans le dos. A chaque fois qu’on avait leur point de vue où était décrit leurs actes barbares, j’avais des frissons. Certaines scènes sont terribles et épouvantables. L’auteur nous offre des psychopathes et sociopathes. Brrr ! Rien que d’y penser, j’en tremble encore…
Bien que j’aie eu de gros doutes sur l’identité du « Maître », je n’ai pas du tout été déçue. Je n’ai pas réussi à découvrir toute l’intrigue. Je ressors amplement satisfaite de ma lecture. Une fois commencé, j’ai lu ce roman d’une traite sans même ressentir le besoin de m’arrêter à part quand le sommeil m’a rattrapé et que j’ai dû lire les 50 dernières pages ce matin. Ce roman est complètement addictif et palpitant. Une intrigue noire, sombre où la tension est à son comble dès les premières pages jusqu’aux dernières. Je ne peux que vous le conseiller ! J’ai passé un très bon moment de lecture.
Le thriller est un genre que j’affectionne très particulièrement bien que ça ne soit pas le genre littéraire que je lis le plus par peur de finir par m’en lasser. Puis quand j’en lis un, c’est pour le savourer entièrement. Quand j’ai vu ce roman dans les parutions, je me suis tout de suite dit qu’il était fait pour moi. Le résumé, la couverture mais surtout le titre m’a indéniablement attiré. J’ai bien fait ! Je ne regrette absolument pas mon choix !
Deux scientifiques meurent simultanément dans deux endroits différents. Quel est le lien entre ces deux affaires ? Thomas Carzan et Agnès Lecomte se retrouve tous deux mêlés à cette affaire malgré eux. Ils décident de résoudre l’enquête seuls et de découvrir le lien qui unit ces deux affaires. Un chant mélodique datant de l’Inquisition viendra se mêler à cette histoire. Action, suspense, course-poursuite, mystère et suspense sont bien au rendez-vous ! Tous ceux qui aiment les thrillers mélangeant suspense et ésotérisme, je ne peux que vous le conseiller, vous ne sortirez pas déçu de ce roman.
Thomas Carzan est le personnage principal du premier roman d’Eric Bony, Le Tombeau du diable. Je ne l’ai pas lu mais les deux enquêtes n’étant pas liées, ça ne dérange pas à la compréhension de l’intrigue. Il y a deux références à ce qu’a vécu le personnage dans l’opus précédent mais rien d’important. En tout cas, un troisième est en préparation et c’est avec grand plaisir que je lirai la prochaine aventure de ce journaliste.
J’ai beaucoup aimé Thomas et Agnès. Ils sont tous les deux attachants, bien que leurs points de vus soient divergents. Ils sont confrontés à des choses effroyables, terribles et difficile à imaginer. Ils se connaissent depuis peu mais reste soudés. J’ai aimé leur duo. Certaines de leurs réactions m’énervaient, à croire qu’ils aimaient se mettre dans des guet-apens. Surtout Agnès, elle ne fait pas confiance en son instinct, en Thomas quand il le faudrait et bien trop méfiante quand il faudrait qu’elle soit ouverte d’esprit. J’ai voulu la secouer pour qu’elle se réveille ! Le pire se sont les scènes où ils se retrouvent avec le « Maître » et les criminels. J’étais là à m’écrier et à me dire : « vous ne voyez pas que vous êtes en train de vous faire avoir et qu’ils sont louches ! »
Eric Bony nous offre des personnages attachants mais aussi des personnages effrayants et qui font véritablement froid dans le dos. A chaque fois qu’on avait leur point de vue où était décrit leurs actes barbares, j’avais des frissons. Certaines scènes sont terribles et épouvantables. L’auteur nous offre des psychopathes et sociopathes. Brrr ! Rien que d’y penser, j’en tremble encore…
Bien que j’aie eu de gros doutes sur l’identité du « Maître », je n’ai pas du tout été déçue. Je n’ai pas réussi à découvrir toute l’intrigue. Je ressors amplement satisfaite de ma lecture. Une fois commencé, j’ai lu ce roman d’une traite sans même ressentir le besoin de m’arrêter à part quand le sommeil m’a rattrapé et que j’ai dû lire les 50 dernières pages ce matin. Ce roman est complètement addictif et palpitant. Une intrigue noire, sombre où la tension est à son comble dès les premières pages jusqu’aux dernières. Je ne peux que vous le conseiller ! J’ai passé un très bon moment de lecture.
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